Avocat au Vietnam Docteur Oliver Massmann LA BANQUE MONDIALE INTERROGE DUANE MORRIS SUR LES MARCHES PUBLICS ET D’APPROVISIONNEMENT VOICI NOS REPONSES :

Mise à jour du cadre juridique et des réformes applicables
1. Quelle est l’entité qui effectue les achats pour l’autorité qui détient la majorité des routes au Vietnam ?
Le Ministère des transports
2. Avez-vous connaissance d’un quelconque changement (dans la pratique / les règlementations/ les procédures) relatif aux marchés publics entre le 1er juin 2017 et le 1er mai 2018 ? Par exemple : les modifications des lois applicables en matière de marchés publics, promulgation et/ou mise en œuvre de nouvelles réglementations, mise en œuvre ou amélioration des plateformes d’acquisition électroniques, changement dans la garantie de soumission et dans le cadre de la garantie de bonne exécution, etc.
Oui. La Loi pour le soutien aux petites et moyennes entreprises votée par l’Assemblée Nationale le 12 juin 2017, prenant effet à partir du 1er janvier 2018.
3. Pouvez-vous s’il vous plait fournir une liste de lois, réglementations et autres documents obligatoires (y compris des documents d’achat standard obligatoires et les contrats) qui régissent les marchés publics au Vietnam ? Veuillez inclure les lois ou autres documents contraignants promulgués au niveau national/fédéral ainsi que toute législation additionnelle applicable à l’entité adjudicatrice décrite dans la Section 1.
Le Code civil du Vietnam n ° 91/2015 / QH13 de l’Assemblée nationale du Vietnam en date du 24 novembre 2015 (« Code civil »);
Loi sur la construction n ° 50/2014 / QH13 de l’Assemblée nationale en date du 18 juin 2014 (« Loi sur la construction »);
Loi sur les appels d’offres n ° 43/2013 / QH13 de l’Assemblée nationale en date du 26 novembre 2013 (« Loi sur les appels d’offres »);
Loi sur l’investissement public n ° 49/2014 / QH13 de l’Assemblée nationale en date du 18 juin 2014 (« Loi sur l’investissement public »);
Loi commerciale n ° 36/2005 / Qh11 de l’Assemblée nationale en date du 14 juin 2005 (« Loi commerciale »);
Décret n ° 63/2014 / ND-CP par le Gouvernement en date du 26 juin 2014 portant interprétation de la loi sur les appels d’offres (« Décret n ° 63/2014 / ND-CP »);
Décret n ° 37/2015 / ND-CP par le Gouvernement en date du 22 avril 2015 sur les détails des contrats de construction (“Décret n ° 37/2015 / ND-CP”);
Décret n ° 46/2015 / ND-CP par le Gouvernement en date du 12 mai 2015 relatif à la gestion de la qualité et de l’entretien des ouvrages de construction (“Décret n ° 46/2015 / ND-CP”);
Décret n ° 30/2015 / ND-CP par le Gouvernement en date du 17 mars 2015 détaillant certaines dispositions de la loi sur les appels d’offres concernant la sélection des soumissionnaires (“Décret n ° 30/2015 / ND-CP”);
Décret n ° 15/2015 / ND-CP par le Gouvernement en date du 14 février 2015 sur les investissements dans les partenariats public-privé (PPP) (« Décret n ° 15/2015 / ND-CP »);
Circulaire n ° 04/2017 / TT-BKHDT du Ministère de la planification et des investissements (MPI) datée du 15 novembre 2017, détaillant la sélection des soumissionnaires via le portail national d’appels d’offres (“Circulaire n ° 04/2017 / TT-BKHDT”);
Circulaire n ° 26/2016 / TT-BXD du Ministère de la Construction du 26 octobre 2016 détaillant certaines dispositions relatives à la gestion de la qualité et à l’entretien des ouvrages de construction (“Circulaire n ° 26/2016 / TT-BXD”);
Circulaire n ° 10/2016 / TT-BKHDT du Ministère de la Planification et de l’Investissement (MPI) portant sur la supervision, le suivi et l’examen des appels d’offres (“Circulaire n ° 10/2016 / TT-BKHDT”);
– Circulaire n ° 23/2015 / TT_BKHDT du Ministère de la planification et de l’investissement datée du 21 décembre 2015 détaillant le rapport d’évaluation sur les documents d’appel d’offres (“Circulaire n ° 23/2015 / TT-BKHDDT”);
– Circulaire n ° 10/2015 / TT-BKHDT du Ministère de la planification et des investissements (MPI) du 26 octobre 2015 détaillant le plan de sélection des soumissionnaires (“Circulaire n ° 10/2015 / TT-BKHDT”);
– Circulaire n ° 01/2015 / TT-BKHDT du Ministère de la Planification et de l’Investissement du 14 février 2015 détaillant la préparation du dossier d’invitation, le dossier d’invitation à soumissionner, et le dossier de demande de services consultatifs (Circulaire n ° 01 / 2015 / TT-BKHDT “);
– Circulaire n ° 17/2010 / TT-BKH du Ministère de la planification et de l’investissement du 22 juillet 2010 détaillant un programme pilote d’appel d’offres en ligne (“Circulaire n ° 17/2010 / TT-BKH”);
– Lettre officielle n ° 5356 / BKHDT-QLDT du Ministère de la Planification et de l’Investissement datée du 18 août 2014 sur l’enregistrement des informations du soumissionnaire sur le réseau national de soumissionnaires;
– Lettre officielle n ° 4962 / BKHDT-QLDT du Ministère de la planification et des investissements datée du 31 juillet 2014 sur l’application de la Loi n ° 43/2013 / QH13 concernant la sélection des investisseurs;
– Lettre officielle n ° 4054 / BKHDT-QLDT du Ministère de la planification et des investissements datée du 7 juin 2014 sur l’application de la Loi n ° 43/2013 / QH13 et du Décret n ° 63/2014 / ND-CP;
– Lettre officielle n ° 5186 / BKHDT-QLDT du ministère du Plan et de l’Investissement du 11 août 2014 guidant la réalisation et la publication des informations relatives aux appels d’offres au cours de la période de transition.
Plateformes d’acquisition électronique
4. Si un ou plusieurs portail (s) électronique (s) d’achat (c.-à-d. un (des) site (s) officiel (s) spécifiquement dédié(s) aux marchés publics) sont en activité au Vietnam, veuillez indiquer à quel niveau ces portails sont disponibles.
Niveau national – Lien: www.muasamcong.mpi.gov.vn
5. Si plusieurs plateformes d’acquisition électronique sont disponibles, laquelle serait probablement utilisée pour un appel d’offres tel que celui décrit dans les sections 1?

6. Si un portail d’acquisition est utilisé par l’entité adjudicatrice, combien de contrats de travaux sont passés via le portail?
Moins de 25%
7. Si des portails d’acquisition électronique sont disponibles, veuillez indiquer laquelle des actions suivantes peut être effectuée via chaque portail :
Accès aux avis sur les opportunités d’acquisition : Entité adjudicatrice et soumissionnaires
Accès à la documentation de l’appel d’offres : Entité adjudicatrice et soumissionnaires
Accès à la documentation de l’appel d’offres : Entité adjudicatrice et soumissionnaires
Demander à l’entité contractante des clarifications : Soumissionnaires
Soumission des offres : Soumissionnaires
Soumission de la garantie de soumission : Soumissionnaires
Ouverture des offres : Entité adjudicatrice
Notification des décisions (clarification, attribution, etc.) : Entité adjudicatrice
Accès aux décisions d’attribution : Entité adjudicatrice et soumissionnaires
Accès aux explications des décisions d’attribution : Entité adjudicatrice et soumissionnaires
Soumission de garanties de bonne exécution : Soumissionnaires
Signature du contrat : Entité adjudicatrice et soumissionnaires
Phases du processus d’acquisition
Le reste de ce questionnaire suit l’évolution chronologique d’un cycle d’acquisition, en commençant par le processus que l’entité adjudicatrice entreprend pour évaluer ses besoins et sécuriser le budget. Le questionnaire explore ensuite les étapes qu’une entreprise locale devrait entreprendre afin de : (i) obtenir un contrat gouvernemental; (ii) livrer les travaux convenus; et (iii) obtenir le paiement. La section suivante porte sur la planification et le budget.
Phase 1: Budgétisation et évaluation des besoins
Pour la définition de « entité adjudicatrice », veuillez-vous reporter à la section 1.
8. Lorsque l’entité adjudicatrice se prépare à annoncer une nouvelle opportunité d’approvisionnement, estime-t-elle la valeur du contrat ?
Oui. Article 35 de la Loi sur les appels d’offres
a. Comment la valeur du contrat est-elle estimée pour le cas comme celui décrit dans la section 1 :
Il est déterminé en fonction du capital total investi ou du budget estimé (le cas échéant) du projet. Toutes les dépenses sont incluses, y compris les frais de réserve, les frais, les charges et les taxes.
b. Qui prépare ces estimations ?
L’entité adjudicatrice ou l’investisseur du projet
c. La valeur estimée du contrat est-elle publiée dans l’avis d’appel d’offres / documents d’appel d’offres ?
Oui. Article 35 de la loi sur les appels d’offres
9. L’entité adjudicatrice est-elle tenue d’avoir déjà alloué un budget à un projet spécifique avant de lancer un appel d’offres?
Oui. Article 35 de la loi sur les appels d’offres
Phase 2: De la publicité à la soumission d’appels d’offre
Les questions suivantes se rapportent à la phase initiale du processus de passation des marchés, en mettant l’accent sur la manière dont la méthode de passation des marchés est choisie, la manière dont l’appel d’offres est publié et comment les offres sont collectées auprès du secteur privé. Pour la définition de « entité adjudicatrice », veuillez vous reporter à la section 1.
Méthode d’acquisition
10. Selon le cadre juridique, l’appel d’offres ouvert (c’est-à-dire le processus par lequel une entreprise peut présenter une offre) est-il la méthode d’achat par défaut au Vietnam pour un contrat tel que celui décrit à la section 1 ?
Non, Section 1, Chapitre 2 de la Loi sur les appels d’offres
11. En pratique, quelle est la méthode d’achat la plus courante pour un contrat tel que celui décrit à la section 1 ?
L’appel d’offres ouvert n’est pas la procédure par défaut, mais reste le plus commun pour un cas comparable à l’étude de cas.
12. Le cadre juridique définit-il les situations dans lesquelles l’appel d’offres ouvert doit être utilisé (y compris les seuils) ? Si le cadre légal réglemente les exceptions à l’appel d’offres ouvert, veuillez les énumérer.
Oui. Article 20 de la loi sur les appels d’offres. Les exceptions à l’appel d’offres ouvert sont les cas d’appel d’offres restrictif, d’attribution directe, de dialogue compétitif, d’achat direct, d’auto-exécution, de sélection communautaire et de participation des soumissionnaires dans certains cas particuliers (Articles 21 à 27 de la Loi sur les appels d’offre)
13. Le cadre juridique interdit-il de diviser les contrats pour contourner les seuils d’appels d’offres ouverts ?
Oui. Article 89.6 (k) de la Loi sur les appels d’offres
a. En pratique, à quelle fréquence cela arrive-t-il?
Très rarement (<10% des cas)
14. Quelles sont les stratégies couramment utilisées pour contourner les règles et les seuils sur les marchés publics ouverts?
L'entité adjudicatrice énonce des spécifications techniques très élevées
15. Lequel des documents suivants doit être mis à la disposition du public par l'entité adjudicatrice?
Par la loi et publiquement disponible dans la pratique
Plans d'achat : Article 8.1 de la loi sur les appels d'offres
Avis d'appel d'offres : Article 8.1 de la loi sur les appels d'offres
Dossier d'appel d'offres et spécifications techniques : Article 8.1 de la loi sur les appels d'offres
Avis d'attribution / résultats de l'appel d'offres : Article 8.1 de la Loi sur les appels d'offres
16. Où sont publiés les documents ci-dessus?
Internet – Lien: http://muasamcong.mpi.gov.vn/
Journaux
Autres : sites Web des ministères, des secteurs locaux, des provinces ou d'autres médias à public de masse.

Avis d'appel d'offres & documents d'appel d'offres
17. Selon le cadre juridique, y a-t-il un délai minimum entre la publication de l'avis d'appel d'offres et la date limite de soumission d'une procédure d'appel d'offres ouverte telle que celle décrite à la section 1 ?
Oui. Article 12.1 de la loi sur les appels d'offres
a. En pratique, combien de jours s'écouleront entre la publication de l'avis d'appel d'offres et la date limite de soumission pour un cas comme celui décrit à la section 1?
30 -40 jours
18. Le cadre juridique établit-il le contenu minimal de l'avis d'appel d'offres et des documents d'appel d'offres ? Si "Oui", veuillez lister les exigences.
Oui. Articles 218-219 du Code de commerce. L'avis d'appel d'offres doit contenir: a / le nom et l'adresse de l'entité adjudicatrice; b / Brève description du contenu des offres; c / Délai, lieu et procédures de réception des documents de soumission; d / Limite de temps, lieu et procédures de soumission des documents de soumission; e / Conseils pour obtenir des éclaircissements sur les documents d'appel d'offres.
Les documents d'appel d'offres doivent inclure: a / un avis d'appel d'offres; b / Exigences relatives à l'achat de biens ou de services; c / Méthodes d'évaluation, de comparaison, de classement et de sélection des soumissionnaires; d / Autres instructions relatives aux enchères.
a. En pratique, lesquels des éléments suivants NE SONT PAS habituellement inclus dans l'avis d'appel d'offres et / ou les documents d'appel d'offres ?
– Motifs d'exclusion des soumissionnaires
– Principales conditions du contrat
– Calendrier de paiement dans le cadre du marché
Sous-traitance
19. Le cadre légal régit-il la sous-traitance ?
Oui. Article 128.2 du décret n ° 63/2014 / ND-CP
20. Selon le cadre juridique, l'entité adjudicatrice est-elle autorisée à établir qu'une part du marché doit être exécutée par le contractant initial et ne peut être sous-traitée ? Par exemple, 25% du contrat doit être exécuté par l'entreprise à laquelle l'offre est attribuée.
Oui. Il n'y a aucune exigence sur un partage spécifique.
21. Selon le cadre juridique, les soumissionnaires sont-ils tenus de divulguer leur intention de sous-traiter des parties du contrat lors de la soumission de leur offre ?
Oui. Article 4.36 de la Loi sur les appels d'offres, Article 128.2 (b) du Décret n ° 63/2014 / ND-CP
22. Si l'intention de sous-traiter n'a pas été divulguée dans la soumission, quel est l'entrepreneur qui décide de sous-traiter après la signature du contrat ?
Aucun de ceux mentionnés précédemment.
23. Le sous-traitant peut-il être tenu responsable par l'entité adjudicatrice pour une qualité de travail réduite ? Si le sous-traitant ne peut être tenu responsable que dans certaines circonstances, veuillez les lister.
Non. Article 128.2 (a) du Décret n ° 63/2014 / ND-CP
Clarifications
24. Lorsqu'un soumissionnaire potentiel demande des précisions sur les documents d'appel d'offres auprès de l'entité adjudicatrice, quelle est la manière la plus courante de les aborder ?
L'entité adjudicatrice adresse toutes les clarifications lors d'une réunion publique.
L'entité adjudicatrice répondra, et il est toujours nécessaire de communiquer la réponse à tous les autres soumissionnaires – Base juridique: Article 14.2 (c) du Décret n ° 63/2014 / ND-CP.
25. Dans la pratique, les clarifications sont-elles utilisées pour négocier avec l'entité adjudicatrice ?
Non.
26. Le cadre juridique interdit-il les réunions informelles entre l'entité adjudicatrice et un soumissionnaire pendant le processus d'appel d'offres ?
Non. Article 89 de la loi sur les appels d'offres
a. En pratique, à quelle fréquence ces réunions ont-elles lieu?
Rarement (entre 10 et 25%)
Garantie de soumission
27. Le cadre juridique exige-t-il que BidCo fournisse une forme de garantie de soumission ?
Oui. Article 11.1 de la loi sur les appels d'offres
28. En pratique, quel instrument BidCo utiliserait le plus souvent comme garantie de soumission ?
Dépôt de garantie – Veuillez préciser le montant : VND 55 millions – VND 170 millions
29. Si BidCo est requis, quel est l'instrument le plus courant de dépôt de garantie de soumission?
Les espèces
La garantie bancaire / la lettre de crédit
Phase 3: De l'ouverture des offres à la signature du contrat
Les questions suivantes concernent l'ouverture des offres, l'évaluation des offres, les exclusions et la signature des contrats. Lorsque vous répondez à ces questions, veuillez continuer à vous reporter aux hypothèses de l'étude de cas présentées à la section 1. Pour la définition de « entité contractante », veuillez vous reporter à la section 1.
Temps (jours civils)
30. Le cadre juridique établit-il un calendrier pour l'entité adjudicatrice de procéder à l'ouverture des offres une fois que la date limite de soumission des offres a été atteinte?
Oui. Article 14.3 (b) du Décret n ° 63/2014 / ND-CP
a. En pratique, l'entité adjudicatrice procède-t-elle à l'ouverture des plis immédiatement (c'est-à-dire, au jour et à l'heure précis de la date limite de soumission des offres)?
Oui.
b. Si ce n'est pas immédiatement, combien de jours civils après la date limite en moyenne ?
Temps : Principales raisons du retard
31. Dans la pratique, dans un cas comparable au scénario de l'étude de cas, combien de jours s'écouleraient entre l'ouverture des plis et l'avis public d'adjudication (c'est-à-dire le moment où tous les soumissionnaires, participants et parties concernées sont avisés), considérant qu'aucune plainte / contestation / protestation n'a été déposée? Dans cette estimation, veuillez inclure le temps nécessaire pour évaluer les offres, aviser tous les soumissionnaires de la décision et aviser le gagnant du prix. S'il n'y a pas d'avis public, veuillez indiquer l'heure jusqu'à la notification de BidCo.
Temps: 45 – 60 jours. Principales raisons du retard : Le résultat de la sélection du soumissionnaire doit être vérifié ou des modifications doivent être apportées aux dossiers / documents d'appel d'offres.
32. Y a-t-il une période d'inactivité (ou de pause) entre l'avis public d'attribution et la signature du contrat pour permettre aux soumissionnaires non retenus de contester la décision d'attribution ?
Oui. Durée : 10 jours
33. Dans la pratique, dans un cas comparable au scénario de l'étude de cas, combien de jours passeraient-ils en moyenne entre l'avis public d'attribution et la signature du contrat? Veuillez inclure le temps pour le gagnant de soumettre les documents pertinents et le temps de signer le contrat.
Temps : 20 – 25 jours.
Principales raisons du retard
34. En pratique, combien de jours passeraient-ils en moyenne entre la signature du contrat et la réception d'un avis de poursuite des travaux ?
Délai : 0 jour ou à la réception de la garantie de bonne exécution par l'entité adjudicatrice.
Principales raisons du retard : Absence de réception de la garantie de bonne exécution
35. Si des permis de travail ou d'autres autorisations administratives sont nécessaires pour commencer les travaux, combien de temps faut-il en moyenne pour les obtenir une fois le contrat signé ? Veuillez indiquer « 0 jour » si les permis et autorisations sont automatiquement accordés à l'entrepreneur ou non requis ?
Temps : 0 jour
Principales raisons du retard
Évaluation & prix
36. Le cadre juridique régit-il la manière dont les membres du comité de sélection sont choisis ?
Oui. Article 116, Décret n ° 63/2014 / ND-CP
37. Les employés de l'entité adjudicatrice sont-ils tenus de respecter un code de conduite ou d'éthique obligatoire qui inclut des sujets tels que les procédures de filtrage, les conflits d'intérêts, les exigences de formation, etc.?
Non. N’est pas mentionné dans les lois.
38. Selon le cadre juridique, quel serait le critère d'attribution dans une affaire comme celle décrite à la section 1 ?
Prix – fondement juridique : article 39.1 de la loi sur les appels d'offres
Prix et autres éléments qualitatifs (c.-à-d. Meilleur rapport qualité-prix ou combinaison de coûts, délai d'achèvement, qualité et durabilité, ou offre économiquement la plus avantageuse) – fondement juridique : article 39.2 de la Loi sur les appels d'offres
Autre, veuillez préciser : Combinaison de l'évaluation technique et de l'évaluation des prix (article 39.3 de la Loi sur les appels d'offres)
39. Le cadre juridique exige-t-il que tous les critères d'évaluation autres que les prix soient objectifs et quantifiables ?
Non. N’est pas mentionné dans les lois
40. Dans la pratique, dans quel ordre les critères de sélection (techniques, financiers, procéduraux, etc.) et les critères d'attribution seraient-ils évalués dans une offre telle que celle décrite à la section 1?
Le respect par la société des critères de sélection est d'abord vérifié (peut-être même lors d'une procédure de pré-qualification) et, seulement si elle est satisfaisante, l'offre est évaluée sur la base des critères d'attribution
41. En pratique, à quelle fréquence la décision d'attribution repose-t-elle uniquement sur le prix et non sur le meilleur rapport qualité-prix?
Rarement (entre 10 et 25%)
42. En pratique, à quelle fréquence les documents d'appel d'offres contiennent-ils des critères d'évaluation accordant la préférence aux entreprises qui ont déjà travaillé avec l'entité adjudicatrice?
Très rarement (<10% des cas)
43. En pratique, à quelle fréquence une offre est-elle disqualifiée uniquement en raison d'une erreur / formalité (par exemple, un document manquant, le formatage des documents d'appel d'offres, etc.)?
Rarement (entre 10 et 25%)
44. Dans la pratique, dans ces cas, le soumissionnaire aurait-il l'occasion de corriger une telle erreur avant d'être disqualifié?
Oui. Article 14.3 (c) du Décret n ° 63/2014 / ND-CP
45. Selon le cadre juridique, l'entité adjudicatrice peut-elle unilatéralement modifier certains des critères d'appel d'offres après l'ouverture de l'offre, mais avant la signature du contrat ? Si "Oui", veuillez préciser dans quelles conditions l'entité adjudicatrice peut le faire.
Non.
a. En pratique, à quelle fréquence de tels changements se produisent-ils?
Très rarement ( 90%)
Exclusion
47. Lorsqu’un soumissionnaire est débouté (soit en raison d’une exclusion ou d’une perte), est-il fourni par écrit une explication des raisons de l’exclusion ou de la perte ?
Oui, conformément à la loi, le soumissionnaire doit toujours recevoir une explication écrite – fondement légal et délai : article 20.6 (b) du décret n ° 63/2014 / ND-CP; dans les 5 jours ouvrables à partir du moment où le résultat de l’appel d’offres est approuvé.
a. Si « Oui », le soumissionnaire est-il habituellement averti assez tôt pour pouvoir contester l’exclusion / la perte en temps opportun ?
Oui
Phase 4: Gestion des contrats
Les questions suivantes concernent la garantie de bonne exécution, la renégociation des contrats, la sous-performance et la résiliation. Lorsque vous répondez à ces questions, veuillez continuer à vous reporter aux hypothèses de l’étude de cas présentées à la section 1. Pour la définition de « entité adjudicatrice », veuillez vous reporter à la section 1.
La garantie de bonne exécution
48. Selon le cadre juridique, BidCo est-il tenu de fournir un cautionnement de garantie de bonne exécution garantissant une source de compensation en cas d’inexécution de ses obligations contractuelles ?
Oui. Montant : 2% – 10% du prix de l’offre retenue
Articles 66 et 72 de la Loi sur les appels d’offres.
49. Si BidCo est requis, quel est l’instrument de garantie de bonne exécution le plus courant ?
Le certificat de dépôt
La garantie bancaire / lettre de crédit
La rétention du paiement jusqu’à l’achèvement satisfaisant du contrat
50. En pratique, combien de temps faut-il habituellement pour que l’entité adjudicatrice restitue intégralement la garantie de bonne exécution après la délivrance du certificat d’achèvement des travaux ?
5-10 jours
Renégociations de contrat / Modifications
51. Le cadre juridique régit-il la renégociation des contrats? Si “Oui”, veuillez indiquer les dispositions pertinentes.
Oui. Article 67 de la Loi sur les appels d’offres et Article 93 du Décret n ° 63/2014 / ND-CP
a. Si “Oui”, quelles sont les limites pour renégocier chacun des aspects ci-dessous sans avoir besoin de re-candidater ?
– Prix (par exemple en raison d’une sous-estimation initiale des coûts ou d’une mauvaise conception du projet) : Le prix n’est ajusté qu’en cas de contrat basé sur un prix unitaire fixe, de contrat basé sur un prix unitaire modifiable et de contrat basé sur le temps.
– Portée (longueur, taille, etc.): La taille du contrat ne peut pas être modifiée si l’augmentation de la quantité de travail est due à la faute subjective de l’entrepreneur. Le délai de livraison ne sera ajusté qu’en cas de force majeure, modification de la portée du travail, conception, méthode de mise en œuvre pour des raisons objectives, et remise de terrain.
– Spécifications techniques (matériaux, etc.): Le changement de sous-traitant (si le sous-traitant n’est pas listé dans les documents d’achat) doit être soumis à l’approbation de l’investisseur.
– Délai de livraison
– Entrepreneur / sous-traitant
52. À quelle fréquence un contrat comme celui décrit à la section 1 serait-il renégocié ?
Occasionnellement (entre 25-50%)
53. Si le contrat décrit à la section 1 était plus complexe (c.-à-d. Exécution plus longue et / ou plus coûteuse, portée ou objet plus complexe, etc.), à quelle fréquence serait-il renégocié ?
Souvent (entre 50 et 90%)
54. À quelle fréquence les soumissionnaires soumettent-ils des offres irréalistes pour remporter le marché, convaincus d’avoir la possibilité de renégocier à un stade ultérieur ?
Rarement (entre 10 et 25%)
55. À quelle fréquence les « urgences » sont-elles utilisées comme une excuse pour renégocier ?
Rarement (entre 10 et 25%)
56. Selon le cadre juridique, y a-t-il un pourcentage de hausse des prix au-dessous duquel l’entité adjudicatrice n’est pas tenue de justifier la renégociation ? Si “Oui”, veuillez indiquer le pourcentage et la base juridique pertinente.
Non.
57. Selon le cadre juridique, existe-t-il un pourcentage de hausse des prix au-delà duquel l’entité adjudicatrice n’est pas autorisée à renégocier et est toujours tenue de présenter une nouvelle offre? Si “Oui”, veuillez indiquer le pourcentage et la base juridique pertinente.
Non.
58. S’il existe des limites à la renégociation des prix, s’appliquent-elles à chaque renégociation ou à toutes les renégociations combinées (par exemple, si le cadre légal impose que toute augmentation de prix n’excède pas 50%, cette limite s’appliquera-t-elle à modifications se produisent) ?
Toutes les renégociations. Article 67.4 de la Loi sur les appels d’offres
59. Les résultats des renégociations de contrats sont-ils rendus publics ?
Non. N’est pas prévu par la loi mais en pratique non.
60. En pratique, quelles sont les stratégies couramment utilisées pour contourner les règles de renégociation dans le contexte d’un nouvel appel d’offres ?

61. Le cadre juridique régit-il la résiliation unilatérale du contrat par l’entité adjudicatrice (c’est-à-dire la résiliation à l’initiative de l’entité adjudicatrice, y compris sans motif) ? Si “Oui”, veuillez indiquer les dispositions pertinentes.
Oui. Article 117.11 du Décret n ° 63/2014 / ND-CP; Article 428 du Code civil du Vietnam.
a. En pratique, à quelle fréquence l’entité adjudicatrice résilierait-elle unilatéralement le contrat alors que le contractant s’acquittait correctement de ses obligations contractuelles?
Très rarement (<10% des cas)
62. À quelle fréquence l'entrepreneur intenterait-il une action (devant le tribunal ou par voie de règlement extrajudiciaire des différends) contre l'entité adjudicatrice pour des dommages résultant d'une résiliation unilatérale non due à la défaillance de l'entrepreneur ?
Très rarement (<10% des cas)
Phase 5: Paiement, retards et évaluation de la qualité
Les questions suivantes concernent le paiement et les inspections. Lorsque vous répondez à ces questions, veuillez continuer à vous reporter aux hypothèses de l'étude de cas présentées à la section 1. Pour la définition de « entité adjudicatrice », veuillez vous reporter à la section 1.
Paiement
63. Selon le cadre juridique, y a-t-il une limite à ce que l'entité adjudicatrice peut payer à l'avance pour que l'entrepreneur embauche des travailleurs, achète du matériel et commence ses activités dans un contrat comme celui décrit à la section 1 ?
Non.
a. En pratique, quelle proportion du prix serait normalement payée d'avance pour un contrat comme celui décrit à la section 1 ?
Minimum 10% de la valeur du contrat, maximum 50% de la valeur du contrat.
64. Pendant l'exécution du contrat, le cadre juridique établit-il un délai dans lequel l'entité adjudicatrice doit traiter le paiement une fois la facture reçue ?
Oui. Article 19 du décret n ° 37/2015 / ND-CP
a. En pratique, combien de jours calendaires seront nécessaires en moyenne pour que BidCo reçoive le paiement une fois que la facture a été remise à l'autorité compétente ?
Maximum 14 jours
b. En pratique, combien de personnes devraient autoriser le paiement au sein de l'entité adjudicatrice avant que le paiement ne soit effectué?
2
c. L'entité adjudicatrice fixe-t-elle des normes minimales concernant les travaux achevés que l'entreprise doit remplir pour recevoir le paiement? Si oui, veuillez préciser ce que ces normes.
Oui. Normes : Basé sur la quantité réelle de travail effectuée par l'entrepreneur
d. En pratique, à quelle fréquence BidCo recevra-t-elle le paiement dans les délais fixés par le cadre légal ?
Souvent (entre 50 et 90%)
e. Si rarement, quelles sont les principales raisons du retard ?
N / A
f. Les paiements sont-ils généralement répartis de manière égale tout au long du travail ?
Non. Articles 95 à 98 du Décret n ° 63/2014 / ND-CP Sur la base de la quantité de travail réellement effectuée par le contractant.
g. Selon le cadre juridique, la société a-t-elle le droit de réclamer des intérêts de retard si l'entité adjudicatrice ne paie pas dans les délais légaux ?
Oui. Article 94 du Décret n ° 63/2014 / ND-CP
h. Si oui, dans la pratique, à quelle fréquence cet intérêt serait-il versé à l'entreprise?
Souvent (entre 50 et 90%)
65. En supposant que BidCo livre des travaux conformes aux normes de qualité convenues dans le contrat, dans le respect du budget et des délais, quelles stratégies, le cas échéant, l'entité adjudicatrice utilise-t-elle pour retarder ou éviter le paiement ?
L'entité adjudicatrice a certaines difficultés financières
a. En pratique, à quelle fréquence l'entité contractante ne paie-t-elle pas ?
Très rarement (<10% des cas)
b. Si le non-paiement est courant, à quelle fréquence BidCo recourra-t-il à des paiements informels pour obtenir un paiement ?
Très rarement ( 90%)
68. A l’achèvement des travaux, le cadre juridique exige-t-il que BidCo garantisse les travaux pendant une certaine période de temps ?
Oui. Articles 35 à 36 du Décret n ° 46/2015 / ND-CP
69. Si BidCo est requis, quel est l’instrument le plus courant de garantie post-achèvement ?
Garantie bancaire / Lettre de crédit
Rétention de paiement
70. En pratique, combien de temps après l’achèvement des travaux BidCo est-il nécessaire de maintenir l’instrument qui les garantit ?
12-18 mois
Retards et dépassements
71. En pratique, à quelle fréquence les œuvres sont-elles livrées dans le délai initial ?
Souvent (entre 50 et 90%)
72. En pratique, si les retards sont communs, quelles en sont les principales raisons ?
Procédures administratives lourdes au sein de l’entité adjudicatrice
Capacité de l’entité adjudicatrice (personnel / compétences / contraintes budgétaires)
Capacité du contractant (contraintes techniques / financières / de gestion / capital humain)
Planification médiocre du côté de l’entité adjudicatrice (spécifications de projet mal conçues, etc.)
Planification médiocre du côté de l’entrepreneur
73. En pratique, à quelle fréquence les œuvres sont-elles livrées dans le budget initial ?
Occasionnellement (entre 25-50%)
74. En pratique, si les dépassements de coûts sont courants, quelles en sont les principales raisons ?
Conditions du marché (évolution des prix des intrants, fluctuations du taux de change, etc.)
Procédures administratives lourdes au sein de l’entité adjudicatrice
Capacité du contractant (contraintes techniques / financières / de gestion / capital humain)
Planification médiocre du côté de l’entité adjudicatrice (spécifications de projet mal conçues, etc.)
Planification médiocre du côté de l’entrepreneur
Recherche – Critères du processus d’acquisition
75. À quelle fréquence les stratégies suivantes sont-elles utilisées par l’entité adjudicatrice pour contourner les règles des marchés publics ?
Ne pas annoncer les opportunités d’acquisition suffisamment longtemps pour minimiser la concurrence : 10-25%
Prioriser les projets sans motivation suffisante uniquement pour bénéficier à un soumissionnaire particulier : 10-25%
Prioriser les appels d’offres non concurrentiels pour restreindre l’accès au marché : 10-25%
Définir les spécifications techniques pour bénéficier d’un soumissionnaire spécifique. : 10-25%
Irrégularités pendant le processus d’appel d’offres. : 10-25%
Interprétation biaisée des critères de sélection : 25-50%
Ajouter dans le contrat des obligations spécifiques qui n’avaient pas été précédemment incorporées dans les documents d’appel d’offres et, ce faisant, imposer des contraintes inutiles à l’entrepreneur.
Retarder les paiements à l’entrepreneur pour demander d’autres travaux non inclus dans les documents d’appel d’offres : <10% des cas
Retarder la certification de l'achèvement du contrat pour obtenir d'autres travaux / biens / services qui ne figuraient pas auparavant dans les documents d'appel d'offres : <10% des cas
Résilier unilatéralement et arbitrairement le contrat : <10% des cas
76. A quelle fréquence les stratégies suivantes sont-elles utilisées par les entreprises du secteur privé pour contourner les règles des marchés publics ?
Collusion entre les soumissionnaires (enchère de couverture, suppression des offres, rotation des offres, allocation du marché) : <10% des cas
Collusion avec l'entité adjudicatrice pour annuler l'entrée sur le marché à d'autres concurrents : 10-25%
Soumission des offres imprudemment basses pour gagner l'offre : 10-25%
Falsification de documents ou omission de divulguer des informations essentielles dans l'offre du soumissionnaire : 10-25%
Fonctionnaires publics informels : 50-90%
Abuser du processus de renégociation pour augmenter le prix ou la portée du projet sans un autre processus concurrentiel : 50-90%
Retarder l'exécution du contrat pour contraindre l'entité adjudicatrice à attribuer d'autres contrats à la même société : 10-25%
Exécuter le contrat avec moins de qualité ou avec des spécifications techniques différentes de celles qui ont été soumises pendant le processus d'appel d'offres : 50-90%
Employer des sous-traitants qui n'ont pas été correctement sélectionnés ni divulgués pendant le processus d'appel d'offres. 10-25%

***
Si vous avez des questions sur ce qui précède, n'hésitez pas à contacter Dr. Oliver Massmann à l’adresse suivante : omassmann@duanemorris.com.
Dr. Oliver Massmann est le directeur général de Duane Morris Vietnam LLC.
Merci beaucoup!

VIETNAM- MARRIAGE AND PROPERTY/REAL ESTATE

Foreigners are better off if they do NOT marry Vietnamese nationals – what you must know:
By: Dr. Oliver Massmann and Pham Ngoc Ha

In Vietnam, there is no private ownership of land. Land is owned by the people and administered exclusively by the State. The State grants land use rights to land users being domestic organizations, domestic family households/individuals, communities of Vietnamese citizens, religious establishments, foreign organizations with diplomatic functions, Vietnamese residing overseas, foreign invested enterprises. Land users are entitled to obtain the title certificate for land use rights, so called Certificate of Land Use Rights and Ownership of Houses and Other Assets Attached to Land (LURC) or Sổ Đỏ in Vietnamese. Foreign individuals are not allowed to have land use rights, i.e., no LURC.

Whether a foreign individual married to a Vietnamese citizen can own land use rights
Given such strict prohibition in the Land Law, foreign individuals who want to have their own land plots in Vietnam, especially in Da Nang or Nha Trang with beautiful beaches, would think that marriage to Vietnamese could solve the problems.

It is a common understanding that every married couple, regardless of any nationalities, would like to make their investments, particularly in real estates, in such a manner that both spouses can be legally recognized as co-owners of the property. Vietnam Family Law has the same approach. It is provided in the law that: Common property of husband and wife includes property created by a spouse, incomes generated from labor, production and business activities, yields and profits arising from separate property and other lawful incomes in the marriage period. The land use rights obtained by a spouse after marriage shall be common property of husband and wife, unless they are separately inherited by, or given to a spouse or are obtained through transactions made with separate property. For a common property which is required by law to be registered for ownership or use, both spouses shall be named in the title certificate, unless otherwise agreed by the couple (Articles 33 and 34 of the Family Law).

One could figure that if he/she marries a Vietnamese, they could together purchase land and hence, jointly own the land. This is well backed-up by the above Family Law provision. However, there’s no such ideal scenario in Vietnam.

Family Law vs. Land Law
When the married couple finally found a perfect land plot, they would likely need to enter into a land use right transfer agreement/sale and purchase agreement and such agreement would need to be notarized to be complied with the law and ultimately for the issuance of an LURC. Here comes the issue: the Land Law will prevail the Family Law.

Even though it is provided that the land use rights obtained after marriage will be common property, it is not right in the case of marriage between a foreigner and a Vietnamese. No matter how much you contribute to buy the land, even you agree not to be a party to the transfer agreement, not to be named in the LURC, you risk losing all your money invested to buy the land.

How so?
The Land Registration Office would explain that Land Law applies in this case. Since foreign individuals are not allowed to have land use rights in Vietnam, the land purchased by the married couple could only be recognized as property of the Vietnamese spouse. In order to name only the Vietnamese spouse on the LURC, it must be the separate property.

“Separate property” in Vietnam is, among other things, property formed by the husband or wife’s separate funds. The Land Registration Office will then require a so called “Acknowledgement of Separate Property” (i.e., a Waiver of Rights) from the non-Vietnamese spouse, which generally says that the non-Vietnamese spouse acknowledges that this is his/her Vietnamese spouse’s own property which was obtained by his/her Vietnamese spouse separate funds and that the non-Vietnamese spouse will waive all rights whatsoever to such property. If you don’t agree to this Waiver, you and your Vietnamese spouse cannot get the LURC. It’s the worst case if you have paid all or most of the purchase price to the land transferor already! Take it or leave it. If you don’t agree, you will lose all; if you agree, you will lose your money but at least your Vietnamese spouse still can get the LURC. In any case, your money invested in the land is totally lost because you don’t get any consideration, legally!

Lessons Learnt
Foreign individuals should not marry Vietnamese with the main purpose to have land use rights. Do NOT marry to secure real estate – It works the other way: it’s better if you are NOT married to protect your money and rights to real estate in Vietnam. Or go the simple way: buy a condominium because foreigners can own condominiums in Vietnam on their name if they have a tourist visa. That is the golden simple way!

Please do not hesitate to contact Dr. Oliver Massmann under omassmann@duanemorris.com if you have any questions or want to know more details on the above. Dr. Oliver Massmann is the General Director of Duane Morris Vietnam LLC
THANK YOU!

Rechtsanwalt in Vietnam Dr. Oliver Massmann ARBEITSRECHT IM TRANSPAZIFISCHEN PARTNERSCHAFTSABKOMMEN (CPTPP) und die Auswirkungen auf das vietnamesische Rechtssystem

Zusammen mit dem Globalisierungsprozess wurden Inhalt und Umfang der Freihandelsabkommen (FTA) erweitert, um nicht nur traditionelle kommerzielle Angelegenheiten wie den Abbau von Zollschranken abzudecken, sondern auch die Felder Arbeit und Umwelt, die nicht direkt im Zusammenhang mit dem traditionellen Handel stehen. Im Hinblick auf die Arbeit enthalten viele der jüngsten Freihandelsabkommen Anforderungen an das Arbeitsumfeld, da man der Ansicht ist, dass die Globalisierung bestimmte negative Auswirkungen auf das Arbeitsumfeld hat, insbesondere in Ländern mit niedrigen Produktionskosten durch die Aufrechterhaltung niedriger Arbeitsstandards, Löhne und Arbeitsbedingungen, was zu einem unfairen Wettbewerb zwischen den Parteien führt. Dies ist ein Ansatz, der in vielen kürzlich abgeschlossenen Handelsabkommen verfolgt wird. Die Zahl der Freihandelsabkommen, die Arbeitsangelegenheiten regeln, ist von 4 im Jahr 1995 auf 72 im Januar 2015 gestiegen. Die Trans-Pacific Partnership (TPP) wird als das Handelsabkommen des 21. Jahrhunderts bezeichnet und enthält die stärksten arbeitsrechtlichen Bestimmungen in der Geschichte. In insgesamt 14 Freihandelsabkommen, an denen Vietnam beteiligt ist, ist das TPP auch das erste Freihandelsabkommen mit Arbeitsbestimmungen. Wenn TPP vollständig umgesetzt wird, wird es dazu beitragen, die Arbeitsbedingungen vor Ort in seinen Mitgliedsländern zu verbessern, indem es verbindliche und vollständig durchsetzbare Verpflichtungen einführt, unter anderem zu frei formierten Gewerkschaften und Tarifverhandlungen. Das TPP schafft auch eine Chance für die Mitgliedsländer, insbesondere Vietnam, den Lebensstandard und die Arbeitsqualität für die eigenen Arbeiter zu verbessern. Im folgenden Abschnitt wird die derzeitige Situation in Vietnam hinsichtlich des Rechts auf Kollektivverhandlungen, der Vereinigungsfreiheit sowie der Frage untersucht, wie die TPP Vietnams Arbeitspraktiken verändert.
Aktuelle Situation der Kollektivverhandlungen und der Vereinigungsfreiheit in Vietnam
Tarifverhandlungen
Tarifverhandlungen sind Diskussionen und Verhandlungen zwischen dem Arbeitnehmervertreter und dem Arbeitgeber, um (i) eine harmonische, stabile und fortschrittliche Arbeitsbeziehung zu formulieren; (ii) Schaffung neuer Arbeitsbedingungen, um die Grundlage für die Unterzeichnung eines Gesamtarbeitsvertrags zu schaffen; und (iii) Probleme und Schwierigkeiten bei der Ausübung der Rechte und der Erfüllung der Verpflichtungen jeder Partei des Arbeitsverhältnisses zu lösen. [1]
Regelmäßige Tarifverhandlungen werden einmal jährlich durchgeführt, und die Zeitspanne zwischen zwei Tarifverhandlungen darf 12 Monate nicht überschreiten. [2]
Ein Ergebnis des Tarifverhandlungsprozesses ist ein Tarifvertrag (“GAV”), der als eine Vereinbarung zwischen dem Arbeitskollektiv und dem Arbeitgeber über Arbeitsbedingungen, Arbeitseinsatz, Rechte und Pflichten jeder Partei in ihrem Arbeitsverhältnis definiert wird. Die Vereinbarung muss auf freiwilliger, fairer und transparenter Basis getroffen werden. Es muss günstigere Bestimmungen für Arbeitnehmer enthalten als gesetzlich vorgeschrieben, jedoch nicht gegen arbeitsbezogene Dokumente verstoßen. [4] Es dient als grundlegendes Dokument, das die rechtlichen Anforderungen in Übereinstimmung mit dem geschäftlichen Charakter jedes Unternehmens aufführt und den Arbeitern die Möglichkeit bietet, mit ihrem Arbeitgeber bessere Arbeitsbedingungen als die gesetzlichen Bedingungen auszuhandeln. Daher ist ein GAV rechtlich in einem Arbeitsverhältnis entscheidend, um zustehende Rechte und aber auch Pflichten jeder Partei zu gewährleisten.
Die Gewerkschaft (TU) spielt die Rolle der Vertretung und des Schutzes der Rechte und legitimen Interessen von Gewerkschaftsmitgliedern und Arbeitnehmern an der Verhandlung, Unterzeichnung und Überwachung der Umsetzung von GAV, Lohn- und Gehaltslisten, Arbeitsnormen, Lohn- und Bonusregelungen, internen Arbeitsbestimmungen, Demokratievorschriften in einem Unternehmen teilnehmen; beteiligt sich und hilft bei der Beilegung von Arbeitskonflikten; hält Dialoge und kooperiert mit einem Unternehmen, um harmonische, stabile und fortschrittliche Arbeitsbeziehungen in einem Unternehmen aufzubauen.
Angesichts der Bedeutung eines CLA haben die meisten Unternehmen in Vietnam diese vorbereitet und umgesetzt. Der Inhalt einer solchen Vereinbarung stellt alle vertretbaren Rechte und Pflichten für Arbeitnehmer sicher, einige Vereinbarungen beinhalten sogar eine bessere Behandlung der Arbeitnehmer als die Gesetze. Einige Unternehmen verfügen jedoch über ein solches Dokument, das nur vorübergehend auf den Druck der Behörden reagiert und Bedingungen enthält, die den gesetzlichen Anforderungen entgegenstehen oder weniger günstig sind. Gründe sind sowohl die Führung der Arbeiter als auch die Arbeiter selbst, die sich der Verfahren, des Verständnisses der gesetzlichen Anforderungen und der schwachen Verhandlungsfähigkeiten nicht bewusst sind.
Vereinigungsfreiheit
Vietnam ist keine Vertragspartei des Übereinkommens Nr. 87 der Internationalen Arbeitsorganisation über die Vereinigungsfreiheit, sondern ist dem Internationalen Pakt über bürgerliche und politische Rechte von 1966 beigetreten, in dem das Recht auf Vereinigungsfreiheit erwähnt wird.
Vietnam stimmte auch mit den Vereinigten Staaten in einer TPP-Nebenvereinbarung überein, die als Konsistenzplan bezeichnet wird, wobei Vietnam verpflichtet ist, sein Verbot unabhängiger Gewerkschaften aufzuheben und allen unabhängigen Gewerkschaften die gleichen Rechte einzuräumen wie den mit der Regierung verbundenen. Diese unabhängigen Gewerkschaften müssen sich auch untereinander verbünden können, um eine breitere nationale Föderation zu bilden. Dieser Prozess wird “Cross-Affiliation” genannt. Dieser Konsistenzplan muss bestanden werden, bevor Vietnam im Rahmen der TPP in die USA exportieren darf.
Das geltende Gesetz über die Gewerkschaften in Vietnam hat jedoch nicht das Recht gewährleistet, TU der Arbeitnehmer frei zu gründen und beizutreten. Zum Beispiel heißt es in Artikel 1 des Gewerkschaftsgesetzes: “Eine TU ist eine sozio-politische Organisation der Arbeiterklasse und Arbeiter, […] ein Mitglied in einem politischen System Vietnams, unter der Leitung der Kommunistischen Partei Vietnams, [ …]. ” Als solches hat Vietnam den Pluralismus nicht anerkannt. Mit anderen Worten, Vietnam hat es den Arbeitern nicht erlaubt, eine Gewerkschaft zu gründen oder ihr beizutreten, von der sie glauben, dass sie während ihrer Beschäftigung ihre Interessen nutzen und schützen könnte. Stattdessen können sie nur der einzigen TU im vietnamesischen TU-System und unter der Leitung der vietnamesischen Kommunistischen Partei beitreten. Unterdessen hat die TU ihre Rolle als Organisation, die die Rechte und legitimen Interessen von Gewerkschaftsmitgliedern und Arbeitnehmern ausübt und vertritt, nicht gut ausgefüllt. Wir haben die Anwesenheit der TU bei Demonstrationen und Streiks für Sozialversicherung oder Zahlung kaum gesehen, als ein Unternehmen geschlossen wurde. Aufgrund der fehlenden Darstellbarkeit ist der Betrieb einer TU sehr eingeschränkt. Im Wesentlichen sind die Mitglieder des Allgemeinen Gewerkschaftsbundes Vietnams ab Distriktsebene alle Regierungsbeamte anstelle von Arbeitnehmern. Daher ist eine unabhängige TU mit Repräsentationsfähigkeit und ohne Assoziation das, was Arbeiter wirklich brauchen.
Wie TPP Vietnams Arbeitspraktiken verändert
Mit dem TPP hat Vietnam eine kritische Verpflichtung eingegangen, d. h. Die Einrichtung einer Organisation, die Arbeiter auf einer Basis repräsentiert, die unabhängig vom Vietnamesischen Allgemeinen Gewerkschaftsbund ist. Anders gesagt, das TPP hat eine Grundlage für den Pluralismus der TU gelegt. Wenn unabhängige Gewerkschaften in Vietnam gegründet werden, wird der Lebensstandard und die Rechte der Arbeitnehmer viel besser sein, da ihre TU eine Stimme haben wird, welche ihre Stimme auch erhebt. Insbesondere wird in der oben erwähnten Nebenabrede mit den Vereinigten Staaten ein separater, von der TPP unabhängiger Durchsetzungsmechanismus angewandt, wenn die Vereinigten Staaten mit der Umsetzung Vietnams unzufrieden sind. Daher muss Vietnam die geltenden TU-Vorschriften an internationale Arbeitsnormen anpassen. Die Prinzipien, die in der Natur des Zeitplans für Vietnam liegen, um seine Verpflichtungen zu erfüllen, sind bereits in der Nebenabrede mit den Vereinigten Staaten wie folgt angegeben: Prinzip 1: Recht der Arbeiter, eine Gewerkschaft ihrer Wahl frei zu bilden und zu vereinigen Prinzip 2: Fähigkeit der Gewerkschaften, ihre Angelegenheiten mit Autonomie zu verwalten Grundsatz 3: Arbeitnehmervertretung an nicht gewerkschaftlich organisierten Arbeitsstätten Grundsatz 4: Vertretbarkeit bei der Auswahl von Gewerkschaftsfunktionären Grundsatz 5: Nichteinmischung von Arbeitgebern in die organisatorische Tätigkeit von Gewerkschaften.
Wir sind optimistisch, dass das TPP in den nächsten fünf Jahren definitiv positive Veränderungen im Arbeitsumfeld in Vietnam mit sich bringen wird. Um diese Vorteile wirklich zu nutzen, muss Vietnam dringend Maßnahmen ergreifen, um das derzeitige nationale System für eine bessere Zivilgesellschaft zu reformieren.
***
Bitte zögern Sie nicht, Oliver Massmann unter omassmann@duanemorris.com zu kontaktieren, wenn Sie Fragen zu den oben genannten Themen haben. Oliver Massmann ist der Generaldirektor von Duane Morris Vietnam LLC. VIELEN DANK!

Rechtsanwalt in Vietnam Dr. Oliver Massmann ÖFFENTLICHE FUSIONEN UND ÜBERNAHMEN

Vietnam ist ein attraktives Ziel für ausländische Investoren geblieben. Im Jahr 2017 beläuft sich das gesamte ausländische Direktinvestitionskapital (Foreign Direct Investment “FDI”) fuer Vietnam auf 35,88 Mrd. USD, ein Anstieg um 44,4% im Vergleich zum Vorjahr. Von 35,88 Mrd. USD FDI entfielen 6,19 Mrd. USD auf 5.002 M&A-Transaktionen, ein Anstieg um 45,1% gegenüber dem Vorjahr
Der Immobiliensektor ist nach wie vor ein sehr attraktiver. 1,5 Mrd. USD wurden ueber M&A in den Markt eingebracht, was in diesem Jahr den Rekord darstellt. Wohnen ist nach wie vor eines der attraktivsten Segmente. Auch das gewerbliche Segment, insbesondere Büroflächen werden sind von stärkerem Interesse. Die Hauptanleger kommen weiterhin aus Japan, Korea, Singapur und China. Der Einzelhandel, Konsum- und Industriegueter sind ebenfalls sehr aktiv und die Anleger neigen dazu, sich auf fuehrende Unternehmen zu konzentrieren, da sie einen grossen Marktanteil und einen starken Markenwert haben.
Haupttreiber von Vietnams M&A-Markt sind:
• Privatisierung staatseigener Unternehmen. Es wird prognostiziert, dass es in 2018 ungefähr 8-10 grosse Privatisierungsgeschaefte, darunter der Verkauf von 24,86% der Anteile von Petrolimex, 20% der Anteile der Aviation Corporation of Vietnam, 53,48% der Staatsanteile an der Vietnam Textile Group, 57,92% der Staatsanteile an der Vietnam Steel Corporation und 49% von PV Oil, geben wird. Hanel, Viglacera, Lilama sind auch in der Liste fuer Privatisierung aufgeführt.
• Handelsliberalisierung als Folge von CPTPP, EU- Vietnam FTA, etc.
• Die Resolution Nr. 42 des Pilotprogramms zum Umgang mit Forderungsausfaellen von Kreditinstituten ist ebenfalls die Hauptantriebskraft fuer M&A im Immobiliensektor, da Forderungsausfaelle in diesem Sektor einen hohen Prozentsatz der gesamten uneinbringlichen Forderungen des vietnamesischen Markts ausmachen.
Nennenswerte Geschaefte in 2017 sind die Folgenden:
• Im Jahr 2017 zeigt der Markt einige M&A Geschaefte in staatseigenen Unternehmen, in denen die Privatisierung von der Regierung stark herangetrieben wird. Das nennenswerteste und erfolgreichste Geschaeft zur Privatisierung des Jahres ist, dass Vietnam Beverage – ein Unternehmen eines thailaendischen Milliardaers, der ThaiBev verwaltet, mehr als 53% der Anteile von Sabeco – einem Unternehmen, das dem Ministerium fuer Industrie und Handel gehoert – fuer USD 5 Mrd. kauft.
• Im Dezember 2017 erwarb die Shinhan Bank Vietnam Ltd. (“Shinhan Bank Vietnam”) das Einzelhandelsgeschaeft der ANZ Bank (Vietnam) Limited. Diese erfolgreiche Transaktion wurde sowohl als ein grosser Schritt fuer die Entwicklung der Shinhan Bank Vietnam im vietnamesischen Markt, als auch als ein schnelles Wachstum des vietnamesischen Privatkundengeschaefts in der kommenden Zeit angesehen.
• Mitte November 2017 kaufte Jardine Cycle & Carriage Limited (JC&C) ueber Platinum Victory Pte. Ltd. 5,53 % der Anteile von Vinamilk fuer 616,6 Mio. USD.
• Im Juni 2017 kaufte die Alibaba Group zusaetzliche Aktien von Lazada fuer 1 Mrd. USD und erhoehte damit ihre Anteile an Lazada auf 83%.
• Im Juli 2017 kaufte Sea Limited (Singapur) 82% der Anteile von der Food Corporation zu 64 Mio. USD.
• Im November 2017 kaufte JD.com Anteile von Tiki JSC fuer 44 Mio. USD.
• Im Januar 2018 kaufte Creador (ein privater Investmentfonds mit Sitz in Kuala Lumpur) 35% der Anteile der Mobile World Investment JSC fuer 43 Mio. USD.
• Synnex Technology International kaufte 30% der Anteile des FPT-Einzelhandels und 47% der Anteile des FPT-Handels von der FPT Corporation fuer rund 41 Mio. USD.
• Shinhan kooperierte mit Vinacapital um 100 Mio. USD in Novaland zu investieren.
Wie erhaelt man die Kontrolle ueber eine Aktiengesellschaft
Die gaengigsten Mittel zur Kontrolle ueber eine Aktiengesellschaft sind:
o Der Erwerb von Aktien/ Gruendungskapital durch:
o Den Kauf von Aktien / Gruendungskapital von den bestehenden Aktionaeren der Gesellschaft
o Den Kauf von Aktien / Gruendungskapital einer boersennotierten Gesellschaft an der Boerse; und
o Ein oeffentliches Kaufangebot.
o Durch eine Fusion. Das Unternehmensgesetz von 2014 legt die Verfahren fuer Unternehmensfusionen durch die Uebertragung aller rechtmaessigen Vermoegenswerte, Rechte, Verpflichtungen und Interessen auf die fusionierte Gesellschaft und die gleichzeitige Aufloesung der sich verschmelzenden Gesellschaften fest.
o Durch den Erwerb von Vermoegenswerten.
Es gibt Beschraenkungen fuer den Kauf von Aktien / Gruendungskapital von lokalen Unternehmen durch auslaendische Investoren in bestimmten sensiblen Sektoren. Darueber hinaus schweigt das Gesetz ueber Fusionen oder den Erwerb von Vermoegenswerten (z. B. Unternehmensausgliederungen), bei denen ein auslaendischer Investor eine Partei ist. In Bezug auf den Erwerb anderer Vermoegenswerte wird, wenn der Vermoegenswert eine Immobilie ist, das auslaendische Eigentumrecht nach den Immobiliengesetzen beschraenkt werden.

Wertpapiere von Aktiengesellschaften muessen vor dem Handel im Vietnam Securities Depository Center registriert und hinterlegt werden.
Abhaengig von der Anzahl der erworbenen Aktien kann ein Investor zum Mehrheitsaktionaer werden. Nach dem vietnamesischen Wertpapiergesetz ist ein Aktionaer der direkt oder indirekt 5% oder mehr der Stimmrechte einer ausstellenden Organisation besitzt, ein Hauptaktionaer. Alle Transaktionen, die zum Besitz von mehr als 10% des einbezahlten Satzungskapitals der Aktiengesellschaft fuehren, muessen die Zustimmung der State Securities Commission (SSC) einholen.
Was ein Bieter im Allgemeinen klaeren sollte, bevor er ein Gebot abgibt
Vor der offiziellen Kontaktaufnahme mit der potenziellen Zielgesellschaft, fuehrt der Bieter eine vorlaeufige Bewertung auf der Grundlage oeffentlich zugaenglicher Informationen durch. Der Bieter kontaktiert dann die Zielgesellschaft, aeussert seine Absicht, Aktien zu kaufen / Anteile zu zeichnen und die Parteien unterzeichnen eine Vertraulichkeitsvereinbarung vor dem Due Diligence-Prozess. Die Vertraulichkeitsvereinbarung beinhaltet grundsaetzlich Vertraulichkeitsverpflichtungen bei der Durchfuehrung der Transaktion. Die Durchsetzung von Vertraulichkeitsvereinbarungen durch Gerichte in Vietnam ist noch nicht erprobt.
Die rechtliche Due Diligence eines Bieters umfasst normalerweise folgende Angelegenheiten:
• Unternehmensdetails des Ziels und seiner Tochtergesellschaften, verbundener und anderer Unternehmen, die Teil des Ziels sind.
• Eventualverbindlichkeiten (aus vergangenen oder anhängigen Rechtsstreitigkeiten).
• Beschaeftigungsangelegenheiten.
• Vertragliche Vereinbarungen des Zielunternehmens.
• Gesetzliche Genehmigungen und Genehmigungen hinsichtlich der Geschaeftstaetigkeit des Zielunternehmens.
• Versicherungen, Steuern, geistiges Eigentum, Schulden und landbezogene Fragen.
• Kartell-, Korruptions- und andere regulatorische Fragen.
Beschraenkungen fuer Aktienuebertragungen von wichtigen Aktionaeren
Innerhalb der ersten drei Jahren nach Ausstellung des Enterprise Registration Certificates koennen nur Gruendungsaktionaere ihre Aktien auf andere Gruendungsaktionaere der Gesellschaft uebertragen. Danach koennen die Aktien frei uebertragen werden. Eine interne Zustimmung der Hauptversammlung ist immer erforderlich, wenn:
• Die Gesellschaft ihr Kapital durch die Ausgabe neuer Aktien erhoeht.
• Wenn innerhalb der oben genannten drei Jahre eine Uebtertragung zwischen den Gruendungsaktionaeren besteht.
Handelt es sich bei dem Kauf und Verkauf um eine direkte Vereinbarung zwischen der Gesellschaft und dem Verkaeufer in Bezug auf eine Aktienausgabe, muss der Verkaufspreis niedriger sein als der Marktpreis zum Zeitpunkt des Verkaufs oder, falls kein Marktpreis vorliegt, der Buchwert der Aktien zum Zeitpunkt des Genehmigungsplans zum Verkauf der Aktien. Darueber hinaus muss der Verkaufspreis fuer auslaendische und inlaendische Kaeufer gleich sein.
Wann eine Angebotsausschreibung erforderlich ist
Eine Angebotsausschreibung ist in den folgenden Faellen erforderlich:
• Kauf von sich im Umlauf befindlichen Aktien eines Unternehmens, die dazu fuehren, dass ein Kaeufer ohne oder mit einer Beteiligung weniger als 25% eine Beteiligung von mindestens 25% erwirbt.
• Kauf von sich im Umlauf befindlichen Aktien eines Unternehmens, die dazu fuehren, dass ein Kaeufer (und dem Kaeufer nahestehende Personen) mit einer Beteiligung von 25% oder mehr weitere 10% oder mehr der sich im Umlauf befindlichen Aktien der Gesellschaft erwirbt.
• Kauf von sich im Umlauf befindlichen Aktien eines Unternehmens, die dazu fuehren, dass ein Kaeufer (und dem Kaeufer nahestehende Personen) mit einer Beteiligung von 25% oder mehr innerhalb von weniger als einem Jahr seit dem Abschluss eines frueheren Angebots weitere 5% bis zu 10% der sich derzeit im Umlauf befindlichen Aktien des Unternehmens erwirbt.
Es gibt keine Anleitung fuer den Beteiligungsaufbau durch den Einsatz von Derivaten. Darueber hinaus kann der Bieter waehrend des Ausschreibungszeitraums keine Aktien oder Rechte ausserhalb des Angebotsprozesses erwerben.
Der Bieter muss das Uebernahmeangebot innerhalb von sieben Tagen nach Eingang der Stellungnahme der State Securities Commission (SSC) bezueglich der Registrierung des Uebernahmeangebots in drei aufeinanderfolgenden Ausgaben einer elektronischen Zeitung oder einer schriftlichen Zeitung und (nur fuer eine boersennotierte Gesellschaft) an der betreffenden Boerse oeffentlich bekannt geben. Das Uebernahmeangebot kann erst nach der Stellungnahme des SSC und nach der oeffentlichen Bekanntmachung durch den Bieter umgesetzt werden.
Das Gebot oeffentlich machen
Der Angebotszeitplan sieht wie folgt aus:
• Der Bieter bereitet die Registrierungsunterlagen fuer sein oeffentliches Angebot fuer den Kauf von Anteilen vor.
• Der Bieter sendet diese Registrierungsdokumente zur Genehmigung an die SSC und gleichzeitig an das Zielunternehmen.
• Die SSC prueft die Angebotsungsunterlagen innerhalb von sieben Tagen.
• Der Vorstand des Zielunternehmens muss innerhalb von 14 Tagen nach Erhalt der Angebotsunterlagen der SSC und den Aktionaeren des Zielunternehmens seine Meinung zum Angebot mitteilen.
• Das Gebot wird in den Massenmedien verkuendigt (obwohl dies keine gesetzliche Verpflichtung ist).
• Die Angebotsdauer betraegt zwischen 30 und 60 Tagen.
• Der Bieter teilt der SSC die Ergebnisse des Angebots innerhalb von 10 Tagen nach Fertigstellung mit.
Unternehmen, die in bestimmten Sektoren (wie Banken, Versicherungen usw.) taetig sind, koennen einem anderen Zeitplan unterliegen.
Angebotsbedingungen
Ein Uebernahmeangebot enthaelt normalerweise folgende Bedingungen:
• Die Angebotsbedingungen gelten fuer alle Aktionaere des Zielunternehmens gleichermassen.
• Die entsprechenden Parteien haben vollen Zugang zu den Ausschreibungsinformationen.
• Die Aktionaere haben das volle Recht, die Aktien zu verkaufen.
• Anwendbare Gesetze werden vollständig respektiert.
Ein Angebot kann auch aufschiebenden Bedingungen unterliegen. Aufschiebende Bedingungen sind im Aktienkaufvertrag oder im Kapitalumlagevertrag festgelegt. Es gibt keine besondere Einschraenkung fuer aufschiebende Bedingungen ausser der Anforderung, dass sie nicht gegen Gesetze verstossen und der Sozialethik widersprechen koennen (obwohl die rechtliche Definition der Sozialethik unklar ist). Die haeufigsten aufschiebenden Bedingungen sind:
• Aenderungen der Charta / relevanten Lizenz des Zielsunternehmens.
• Erlangung notwendiger Genehmigungen zur Durchfuehrung der Transaktion.
• Aenderungen im Leitungsorgan des Zielunternehmens.
Die Zahlung des Vertragspreises erfolgt erst nach Erfuellung der aufschiebenden Bedingungen.
Mitarbeiterberatung
Nach dem vietnamesischen Recht ist es nicht erforderlich, dass die Mitarbeiter zu dem Angebot konsultiert werden. Wenn jedoch eine Entlassung erfolgen soll, muss der Arbeitgeber:
• Einen Arbeitskraftnutzungsplan vorbereiten.
• Den Arbeitnehmervertreter konsultieren.
• Die zustaendige Arbeitsbehoerde ueber die Umsetzung des Arbeitskraftnutzungsplans in Kenntnis setzen.
Form und Mindestmass der Beteiligung
Nach vietnamesischem Recht koennen Anteile erworben werden, indem Bargeld, Gold, Landnutzungsrechte, Rechte an geistigem Eigentum, Technologie, technisches Know-how oder andere Vermoegenswerte angeboten werden. In der Praxis erfolgt der Erwerb meist gegen Geldleistung getaetigt.
Im Falle eines vollstaendigen Erwerbs von Staatsunternehmen darf die erste Zahlung fuer den Anteilserwerb nicht weniger als 70% des Wertes dieser Anteile betragen, wobei der verbleibende Betrag innerhalb von 12 Monaten gezahlt werden muss.
Bei Transaktionen, bei denen Aktien von staatlichen Unternehmen versteigert werden, muss der Kaeufer mindestens fuenf Arbeitstage vor dem genannten Auktionstermin eine Anzahlung in Hoehe von 10% des Wertes der zur Zeichnung angemeldeten Aktien auf Grundlage des Mindestpreises leisten. Darueber hinaus hat der Kaeufer das gesamte Entgelt fuer die Aktien innerhalb von zehn Arbeitstagen nach Bekanntgabe der Auktionsergebnisse auf das Bankkonto der erteilenden Stelle zu ueberweisen.
Im Falle eines oeffentlichen Uebernahmeangebots muessen die Zahlung und die Uebertragung von Anteilen ueber eine Wertpapierhandelsgesellschaft, die als Beauftragte fuer das oeffentliche Kaufangebot bestellt wurde, entsprechend dem Dekret 58/2012 / ND-CP, erfolgen.
Ein Unternehmen von der Liste nehmen (Delisting)
Wenn ein Unternehmen freiwillig die Streichung von der Liste beantragt, muss es einen Antrag auf Streichung der Liste stellen, der folgende Dokumente enthaelt:
• Einen Antrag fuer das de-listing.
• Fuer eine Aktiengesellschaft:
o die Zustimmung der Hauptversammlung zur Streichung der Aktie;
o die Zustimmung des Vorstandes zur Streichung von Anleihen; und
o die Zustimmung der Hauptversammlung zur Streichung von Wandelanleihen.
• Der Mitgliederbeirat (fuer eine Gesellschaft mit mehreren Mitgliedern mit beschraenkter Haftung) oder der Eigentuemer des Unternehmens (fuer eine Gesellschaft mit einem einzigen Mitglied mit beschraenkter Haftung) genehmigt die Streichung von Anleihen.
• Fuer einen Wertpapierinvestmentfonds die Zustimmung des Kongresses der Anleger zur Streichung des Zertifikats des Fonds.
• Fuer eine staatliche Wertpapierinvestmentgesellschaft genehmigt die Hauptversammlung der Aktionäre die Streichung der Aktien.
Eine boersennotierte Gesellschaft kann ihre Wertpapiere nur dann de-listen, wenn die Aufhebung der Boersenzulassung durch einen Beschluss der Hauptversammlung gefasst wird, der von mehr als 50% der stimmberechtigten Aktionaere, die keine Hauptaktionaere sind, angenommen wurde.
Wenn sich ein Unternehmen freiwillig von der Boerse in Hanoi oder Ho-Chi-Minh-Stadt streicht, muss der Antrag auf Aufhebung der Boersennotierung auch einen Plan enthalten, der die Interessen der Aktionaere und Anleger beruecksichtigt. Die Hanoi- oder die Ho-Chi-Minh-Boerse muessen den Antrag auf Aufhebung der Boersenzulassung innerhalb von 10 bzw. 15 Tagen ab Erhalt eines gueltigen Antrags pruefen.
Auf den Verkauf von Anteilen an einer Gesellschaft abzufuehrende Steuern
Abhaengig davon, ob der Verkaeufer eine natuerliche oder juristische Person ist, gelten die folgenden Steuern:
• Kapitalertragssteuer. Die Kapitalertragsteuer ist eine Form der Einkommenssteuer, die auf eine Praemie auf den tatsaechlichen Kapitalbeitrag des urspruenglichen Anlegers oder dessen Anschaffungskosten zu zahlen ist. Auslaendische Unternehmen und oertliche Koerperschaften unterliegen einer Koerperschaftsteuer von 20%. Handelt es sich bei den uebertragenen Vermoegenswerten jedoch um Wertpapiere, so unterliegt ein auslaendischer Unternehmensverkaeufer einer Koerperschaftsteuer in Hoehe von 0,1% des Bruttoverkaufspreises.
• Persoenliche Einkommensteuer. Handelt es sich bei dem Verkaeufer um einen natuerliche ansaessige Person, wird eine Einkommensteuer in Hoehe von 20% der erzielten Gewinne und in Hoehe von 0,1% des Verkaufspreises erhoben, wenn es sich bei dem uebertragenen Vermoegenswert um Wertpapiere handelt. Ein einzelner Steuerinlaender ist definiert als eine Person, die:
o Sich in Vietnam fuer 183 Tage oder laenger innerhalb eines Kalenderjahres aufhaelt;
o Sich in Vietnam fuer einen Zeitraum von 12 aufeinanderfolgenden Monaten ab seiner Ankunft in Vietnam aufhaelt;
o Einen registrierten staendigen Wohnsitz in Vietnam hat; oder
o Ein Haus in Vietnam im Rahmen eines Mietvertrages mit einer Laufzeit von mindestens 90 Tagen in einem Steuerjahr mietet.
Wenn der Verkaeufer ein einzelner nicht Gebietsansaessiger ist, unterliegt er einer Einkommensteuer von 0,1% auf den Bruttoveraeusserungspreis, unabhaengig davon, ob ein Kapitalgewinn vorliegt.
Die Zahlung der oben genannten Transfersteuern ist in Vietnam zwingend.
Gesetzliche Genehmigungen
Der Anleger muss die Kapitaleinlage und den Kauf von Anteilen anmelden, wenn:
• Das Zielunternehmen in einem der 267 bedingten Sektoren taetig ist, auf die im Investitionsgesetz von 2015 Bezug genommen wird.
• Die Kapitaleinlage und der Kauf von Anteilen dazu fuehren, dass auslaendische Investoren 51% oder mehr des Satzungskapitals des Zielunternehmens besitzen (insbesondere von unter 51% bis ueber 51% und von 51% bis ueber 51%).
Die oertliche Abteilung fuer Planung und Investition, bei der das Zielunternehmen ansaessig ist, muss innerhalb von 15 Tagen nach Erhalt eines gueltigen Registrierungsantrags ihre endgueltige Genehmigung erteilen. In der Praxis kann dieses Verfahren aufgrund der Arbeitsbelastung einiger zentraler Behoerden und des Fehlens klarer Leitlinien jedoch mehrere Monate dauern. Daher kann die Registrierungspflicht zu erheblichen Verzoegerungen im gesamten M&A-Prozess fuehren.
In anderen Faellen muss die Zielgesellschaft nur den Wechsel der Mitgliedschaft/ Aktionaere bei der Geschaeftsregistrierungsabteilung registrieren.
Beschraenkungen der Rueckfuehrung von Gewinnen und / oder Devisenregeln fuer auslaendische Unternehmen
Wenn die Zielgesellschaft in Vietnam bereits ueber ein Investitionsregistrierungszertifikat verfuegt, muss sie bei einer zugelassenen Bank in Vietnam ein Konto fuer ein Direktanlagekapital eroeffnen. Die Zahlung fuer einen Anteilskauf durch einen auslaendischen Anleger muss ueber dieses Konto erfolgen. Das Konto kann auf Vietnamesische Dong oder eine Fremdwaehrung lauten. Wenn der auslaendische Investor ein Offshore-Investor ist, muss er darueber hinaus ein Kapitalkonto bei einer in Vietnam taetigen Geschaeftsbank eroeffnen, um die Zahlung auf das Konto des Verkaeufers zu ueberweisen und Gewinne zu erhalten.
Verfuegt die Zielgesellschaft in Vietnam nicht ueber ein Investitionsregistrierungszertifikat, muss der auslaendische Investor ein indirektes Kapitalkonto fuer die Zahlung an den Verkaeufer und die Ueberweisung von Gewinnen eroffnen.
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Bitte zoegern Sie nicht, Herrn Dr. Oliver Massmann unter omassmann@duanemorris.com zu kontaktieren, wenn Sie dazu Fragen haben oder mehr darueber erfahren wollen. Dr. Oliver Massmann ist der General Director von Duane Morris Vietnam LLC.

Rechtsanwalt in Vietnam Dr. Oliver Massmann Fusionen und Übernahmen M&A-Transaktionen 2018: Marktanalyse – Ein Überblick

Largest / most noteworthy public M&A transactions in the past 12 months
Oelgas und Chemikalien
Im Mai 2017 kaufte Earth Chemical 100% der Anteile an der A My Gia Joint Stock Company zu einem Preis von rund 79,2 Mio. USD.
Finanzsektor
Im Juli 2017 kaufte Vietnam International Joint Stock Commercial Bank 100% des Geschaefts der Commonwealth Bank of Australia (Ho Chi Minh Niederlassung).
Im Dezember 2017 erwarb die Shinhan Bank Vietnam Ltd. (“Shinhan Bank Vietnam”) das Einzelhandelsgeschaeft der ANZ Bank (Vietnam) Limited. Diese erfolgreiche Transaktion wurde als ein grosser Schritt fuer die Entwicklung der Shinhan Bank Vietnam in dem vietnamesischen Markt und als ein schnelles Wachstum des vietnamesischen Privatkundengeschaefts in der kommenden Zeit angesehen.
Andere
Einzelhandel. Zu den erwaehnenswerten M&A-Geschaeften gehoeren die Folgenden:
• Im Januar 2018 kaufte Creador (ein privater Investmentfonds mit Sitz in Kuala Lumpur) 35% der Anteile der Mobile World Investment JSC fuer 43 Mio. USD.
• ThaiBev kaufte mehr als 53% der Anteile von Sabeco – einem Unternehmen, das dem Ministerium fuer Industrie und Handel gehoert – fuer 5 Mrd. USD.
• Im November 2017 kaufte JD.com Anteile von Tiki JSC fuer 44 Mio. USD.
• Im Juni 2017 kaufte die Alibaba Group zusaetzliche Aktien von Lazada fuer 1 Mrd. USD und erhoehte damit ihre Anteile an Lazada auf 83%.
• Im Juli 2017 kaufte Sea Limited (Singapur) 82% der Anteile von der Food Corporation zu 64 Mio. USD.
• Im April 2017 kaufte Shinhan Vietnam Bank das Einzelhandelsgeschaeft der ANZ fuer einen nicht bekannt gegebenen Betrag.
• Im Mai 2017 kauften die Bien Hoa Sugar Company und die Thanh Thanh Cong Tay Ninh Sugar Company 100% des Stammkapitals von HAGL Sugar zu einem Preis von 58,52 Mio. USD.
• Synnex Technology International kaufte 30% der Anteile des FPT-Einzelhandels und 47% der Anteile des FPT-Handels von der FPT Corporation fuer rund 41 Mio. USD.
Lebensmittel. Zu den erwaehnenswerten Geschaeften gehoeren die Folgenden:
• Mitte November 2017 kaufte Jardine Cycle & Carriage Limited (JC&C) ueber Platinum Victory Pte. Ltd. 5,53 % der Anteile von Vinamilk fuer 616,6 Mio USD.
• Ende Maerz 2017 erwarb die CJ Cheiljedang Corporation 20% der Anteile an der Saigon Trading Corporation zu einem Preis von 8,2 Mio. USD, womit sich ihr Gesamtanteil an der Cau Tre Export Products Processing Joint Stock Company auf 71,6% erhoehte.
• Im Mai 2017 erwarb die Kido Corporation 27% der Anteile an der Vietnam Vegetable Oil Industry Corporation, wodurch sich ihr Anteil an der Gesellschaft auf 51% erhoehte.
Immobilien. Zu den erwaehnenswerten Geschaeften gehoeren die Folgenden:
• Warburg Pincus in einem Joint Venture mit VinaCapital kaufte 50% der Anteile am Sofitel Legend Metropole Hanoi fuer rund 100 Mio USD.
• Warburg hat ausserdem ein Joint Venture mit der Becamex Industrial Development Corporation mit einem Kapital von 200 Mio USD gegruendet, um in Gewerbeimmobilien- und Logistikdienstleistungen zu investieren.
• Im Mai 2017 kaufte Elite Capital Resources Limited 100% der Anteile von VinaLand Fonds (VinaCapital) in der Thang Long Limited Company (Projektinhaber des Times Square Hanoi) fuer 41 Mio. USD.
• Im ersten Quartal des Jahres 2017 kaufte Sulyna Hospitality 70% der Anteile an einem 4-Sterne-Resort in Phu Quoc von Berjaya Land fuer 14,65 Mio USD.
• Im ersten Quartal 2017 erwarben An Gia Investment Corporation und ihr Partner Creed Group 5 Wohnbloecke des La Casa Projekts der Van Phat Hung Corporation fuer rund 40 Mio USD.
• Im Maerz 2017 hat die Keppel Corporation ihre Anteile am Saigon Center-Projekt um 16% fuer 37 Mio. USD erhoeht.
• Im Januar 2017 kuendigte CapitaLand den Erwerb von 90% der Anteile von CapitaLand Thanh Nien an.
• Shinhan kooperierte mit Vinacapital um 100 Mio. USD in Novaland zu investieren.
Versicherungen. Zu den erwaehnenswerten Geschaeften gehoeren die Folgenden:
• Im April 2017 kaufte die Aviva Insurance Corporation 50% der Anteile an der VietinBank Aviva Joint Venture Company von der Vietnam Joint Stock Commercial Bank fuer Industrie und Handel.
Die wichtigsten Trends in der Strukturierung von oeffentlichen M&A-Transaktionen
In Vietnam erfolgen M&A-Transaktionen fuer gewoehnlich in der Form eines Anteils- oder eines Vermoegenserwerbs, wobei die Transaktionen im Bereich des Anteilserwerbs solche des Vermoegenserwerbs uebertreffen.
Aktienuebernahmen durch auslaendische Kaeufer sind ueblicherweise als Offshore-Direktinvestitionen strukturiert.
Der neue Investor kann:
• Aktien oder Kapitaleinlagen von einem bestehenden Anteilseigner im Zielunternehmen (z. B. einer Aktiengesellschaft, einer Gesellschaft mit beschraenkter Haftung usw.) erwerben.
• Sich fuer neu ausgegebene Aktien des Zielunternehmens (fuer eine Aktiengesellschaft) anmelden.
• Weitere Kapitaleinzahlungen in das Zielunternehmen (fuer eine Gesellschaft mit beschraenkter Haftung) taetigen.
Im Falle eines Vermoegensgeschaefts muss ein auslaendischer Kaeufer in der Regel eine neue Tochtergesellschaft in Vietnam gruenden.
Darueber hinaus koennen M&A-Transaktionen auch in Form einer Fusion erfolgen. Eine oder mehrere Gesellschaften derselben Art koennen durch Uebertragung aller Vermoegenswerte, Rechte, Verpflichtungen und Interessen auf die fusionierte Gesellschaft zu einer anderen Gesellschaft, die die Existenz der fusionierenden Gesellschaften beendet, zusammengelegt werden.
Das Unternehmensgesetz von 2014 legt fest, welche Arten von Unternehmensstrukturen von Investoren als Folge von M&A-Transaktionen genutzt werden koennen. Darueber hinaus ist das Investmentgesetz von 2014 das erste Gesetz, das M&A-Transaktionen regelt und klar vorschreibt, dass solche Transaktionen kein Investmentregistrierungszertifikat erfordern. Jetzt muessen die auslaendischen Investoren die Genehmigung der lokalen Abteilung fuer Planung und Investition der Transaktion einholen, wenn:
• Die Zielgesellschaft in einem der fuer auslaendische Investoren geltenden bedingten Geschaeftsbereich taetig wird.
• die Investitionen zu einer auslaendischen Eigentuemerschaft an der Zielgeschaft von 51 % oder mehr (insbesondere von unter 51% bis ueber 51% und von 51% bis ueber 51%) fuehren.
In allen anderen Faellen muss das Zielunternehmen lediglich eine Aenderung der Mitgliedschaft/ Beteiligung bei der Geschaeftsregistrierungsabteilung anmelden. Diese Veraenderung hat Jahre der Unsicherheit und Frustration auslaendischer Investoren, die den Eintritt in den vietnamesischen Markt oder die Expansion durch M&A-Transaktionen anstrebten, beendet.
Das Niveau / der Umfang von privaten Eigenkapitalgeboten in den letzten 12 Monaten
Investitionen in Form von M&A-Transaktionen sind im Vergleich zu privaten Eigenkapitalfinanzierungen nach wie vor die beliebteste Form. In den letzten Monaten folgten private Eigenkapital-Fonds dem Wertpapiermarkt in Vietnam, insbesondere Unternehmen, die Wertschoepfungsprozesse betreiben. Konsumgueter und Infrastruktur sind die Sektoren, die die meiste Aufmerksamkeit auf sich ziehen. Aufgrund begrenzter oeffentlich verfuegbarer Informationen ist es jedoch nicht moeglich, die Hoehe der privaten Eigenkapitalgebote vollstaendig zu erfassen.
Das Vorgehen der Wettbewerbshueter in den letzten 12 Monaten
Die vietnamesische Wettbewerbsbehoerde des Ministeriums fuer Industrie und Handel (Vietnam Competition Authority „VCA“) muss ueber die Transaktion informiert werden, wenn die teilnehmenden Unternehmen einen gemeinsamen Marktanteil von 30% bis zu 50% auf dem entsprechenden Markt haben. Die VCA prueft dann, ob die Berechnung des gemeinsamen Marktanteils korrekt ist und ob die Transaktion verboten ist (das ist der Fall, wenn der gemeinsame Marktanteil 50% uebersteigt, mit Ausnahmen in bestimmten Faellen). Die Transaktion kann durchgefuehrt werden, wenn die VCA eine schriftliche Bestaetigung ausstellt, wonach die Transaktion nach dem Wettbewerbsrecht nicht verboten ist.
Im juengsten Fall: Grab kauft Uber in Suedostasien hat die VCA mit der Untersuchung moeglicher Verletzungen des vietnamesischen Wettbewerbsrechts begonnen. Der Fall befindet sich noch in der Pruefungsphase.
Fuer mehr Informationen ueber die VCA siehe www.vca.gov.vn/Default.aspx?lg=2.
Hauptfaktoren, die den oeffentlichen M&A-Markt in den naechsten 12 Monaten beeinflussen
Die tiefere und breitere Integration des Landes in die Weltwirtschaft bietet neue Moeglichkeiten fuer M&A-Aktivitaeten.
Ein weiterer Faktor ist der hohe Druck, den die Regierung auf die Privatisierung staatseigener Unternehmen ausuebt, um die Anforderungen der unterzeichneten Handelsabkommen, insbesondere des EU – Vietnam Freihandelsabkommens, das 2019 in Kraft treten soll, zu erfuellen.
Ermutigende Zeichen fuer auslaendische Investitionen sind:
• Reformierte Politik, um auslaendischen Investoren einen breiteren Zugang zu ermoeglichen.
• ASEAN-Wirtschaftsgemeinschaft Binnenmarkt und Produktionsbasis.
• Abschluss von Freihandelsabkommen (FHA), einschliesslich des EU – Vietnam Freihandelsabkommens und dem Comprehensive and Progressive Trans-Pacific Partnership (CPTPP).
• Vietnams superreiche Bevoelkerung waechst schneller als anderswo und ist auf dem Weg, das Wachstum in dem naechsten Jahrzehnt anzufuehren.
• Die Privatisierung staatlicher Unternehmen wird beschleunigt.
Die Einfuehrung des neuen Investitionsgesetzes, des Unternehmensgesetzes, der Resolution Nr. 42 ueber den Umgang mit Forderungsausfaellen und anderer Gesetze und Richtlinien schafft ein verbessertes rechtliches Umfeld fuer Investitionen und den Handel im Allgemeinen und insbesondere den M&A-Markt:
• Abweichende Interpretationen und Umsetzungen der internationalen Vertraegen durch die oertlichen Genehmigungsbehoerden, wie z. B. Vietnams WTO-Verpflichtungen.
• Unterschiedliche Lizenzierungsverfahren sind fuer verschiedene Arten von Transaktionen anwendbar (z. B. fuer auslaendisch investierte Unternehmen und inlaendische Unternehmen, oeffentliche Unternehmen und private Unternehmen sowie fuer den Kauf staatseigener Aktien oder privater Aktien).
Obwohl rechtliche und politische Barrieren, gemeinsam mit makrooekonomischer Instabilitaet und mangelnde Markttransparenz immer noch die groessten Sorgen der Anleger sind, wird erwartet, dass M&A-Transaktionen in Vietnam immer noch einer der wichtigsten, effektiven Kanaele fuer den Markteintritt sein werden.
Zu den wichtigsten erwarteten Trends im Vietnam M & A-Markt gehoeren:
• Bankumstrukturierungen.
• Uebernahmen und Anti-Uebernahmen, insbesondere im Immobilienbereich.
• Wachsende japanische und thailaendische Investitionen in Vietnam durch M&A-Transaktionen.
• Reform der staatseigenen Unternehmen.
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Bitte zoegern Sie nicht, Herrn Dr. Oliver Massmann unter omassmann@duanemorris.com zu kontaktieren, wenn Sie dazu Fragen haben oder mehr darueber erfahren wollen. Dr. Oliver Massmann ist der General Director von Duane Morris Vietnam LLC.

Lawyer in Vietnam Dr. Oliver Massmann PUBLIC MERGERS AND ACQUISITIONS

Vietnam has remained an attractive destination for foreign investors. In 2017, the total FDI capital to Vietnam is USD35.88 billion, an increase of 44.4% compared to last year. Out of USD35.88 billion FDI, USD6.19 billion came from 5,002 M&A deals, up 45.1% against last year.
Real estate continues being a very attractive sector, with USD1.5 billion being poured into the market via M&A, setting the record this year. Residential remains one of the most attractive segments and more interest is also put on commercial segment, especially Grade A offices. Main investors still come from Japan, Korea, Singapore, and China. The retail, consumer goods, and industrial goods are also very active, and investors tend to focus on leading companies as they have a big market share and strong brand value.
Main drivers of Vietnam’s M&A market are:
• Privatization of state-owned enterprises. It is forecast that there will be around 8-10 big privatization deals in 2018, including the sale of 24.86% shares of Petrolimex, 20% shares of Aviation Corporation of Vietnam, 53.48% state shares in Vietnam Textile Group, 57.92% state shares in Vietnam Steel Corporation and 49% of PV Oil. Hanel, Viglacera, Lilama are also in the list for privatization.
• Trade liberalization as a result of CPTPP, EU- Vietnam FTA, etc.
• Resolution No. 42 on pilot program of handling bad debts of credit institutions is also the main driving force of M&A in real estate sector as bad debts in real estate sectors accounts for a high percentage of the total bad debts in Vietnam’s market.
Notable deals in 2017 include the following:
• The market in 2017 sees several M&A deals in state-owned enterprises where the privatization is pushed hard by the Government. Vietnam Beverage – a company of a Thai billionaire managing ThaiBev buying more than 53% shares in Sabeco – a company owned by the Ministry of Industry and Trade at USD 5 billion, is the most notable and successful privatization deal this year.
• In December 2017, Shinhan Bank Vietnam Ltd. (“Shinhan Bank Vietnam”) acquired ANZ Bank (Vietnam) Limited’s retail business. This successful transaction has been considered as a big step for Shinhan Bank Vietnam’s development in Vietnam market, as well as a rapid growth for Vietnam retail banking in the upcoming time.
• In mid- November 2017, Jardine Cycle & Carriage Limited (JC&C), via Platinum Victory Pte. Ltd bought 5.53% shares of Vinamilk at USD616.6 million.
• In June 2017, Alibaba Group additionally bought shares of Lazada at USD1 billion, thus increasing its shares in Lazada to 83%
• In July 2017, Sea Limited (Singapore) bought 82% shares of Foody Corporation at USD64 million
• In November 2017, JD.com bought shares in Tiki JSC at USD 44 million
• In January 2018, Creador (a private Kula Lumpur-based investment fund) bought 35% shares of Mobile World Investment JSC at USD43 million.
• Synnex Technology International bought 30% shares of FPT Retail and 47% shares of FPT Trading from FPT Corporation at around USD 41 million.
• Shinhan cooperated with Vinacapital to invest USD100 million in Novaland.
How to obtain control of a public company
The most common means of obtaining control over a public company are as follows:
o The acquisition of shares/charter capital through:
o buying shares/charter capital from the existing shareholders of the company;
o buying shares/charter capital of a listed company on the stock exchange; and
o public share purchase offer.
o Through a merger. The 2014 Law on Enterprises sets out the procedures for company mergers by way of a transfer of all lawful assets, rights, obligations and interests to the merged company, and for the simultaneous termination of the merging companies.
o Through the acquisition of assets.
There are restrictions on the purchase of shares/charter capital of local companies by foreign investors in certain sensitive sectors. In addition, the law is silent on merger or assets acquisition (e.g., business spin-off) transactions where a foreign investor is a party. Regarding other assets acquisition transactions, if the asset is a real property, foreign ownership right will be restricted according to real estate laws.
Securities of public companies must be registered and deposited at the Vietnam Securities Depository Centre before being traded.
Depending on the numbers of shares purchased, an investor can become a controlling shareholder. Under the Vietnam Law on Securities, a shareholder that directly or indirectly owns 5% or more of the voting shares of an issuing organization is a major shareholder. Any transactions that result in more than 10% ownership of the paid-up charter capital of the securities company must seek approval of the State Securities Commission (SSC).
What a bidder generally questions before making a bid
Before officially contacting the potential target, the bidder conducts a preliminary assessment based on publicly available information. The bidder then contacts the target, expresses its intention of buying shares/subscribing for its shares and the parties sign a confidentiality agreement before the due diligence process. The confidentiality agreement basically includes confidentiality obligations in performing the transaction. The enforcement of confidentiality agreements by courts in Vietnam remains untested.
A bidder’s legal due diligence usually covers the following matters:
• Corporate details of the target and its subsidiaries, affiliates and other companies that form part of the target.
• Contingent liabilities (from past or pending litigation).
• Employment matters.
• Contractual agreements of the target.
• Statutory approvals and permits regarding the business activities of the target.
• Insurance, tax, intellectual property, debts, and land-related issues.
• Anti-trust, corruption and other regulatory issues.
Restrictions on shares transfer of key shareholders
Founding shareholders can only transfer their shares to other founding shareholders of the company within three years from the issuance of the Enterprise Registration Certificate. After then, the shares can be transferred freely. An internal approval of the general meeting of shareholders is always required if:
• The company increases its capital by issuing new shares.
• There is any share transfer of the founding shareholders within the above three-year period.
If the sale and purchase is a direct agreement between the company and the seller in relation to an issuance of shares, the selling price must be lower than the market price at the time of selling, or in the absence of a market price, the book value of the shares at the time of the approval plan to sell the shares. In addition, the selling price to foreign and domestic buyers must be the same.
When a tender offer is required
A tender offer is required in the following cases:
• Purchase of a company’s circulating shares that results in a purchaser, with no shareholding or less than a 25% shareholding, acquiring a 25% shareholding or more.
• Purchase of a company’s circulating shares that results in a purchaser (and affiliated persons of the purchaser), with a 25% or more shareholding, acquiring a further 10% or more of circulating shares of the company.
• Purchase of a company’s circulating shares that results in a purchaser (and affiliated persons of the purchaser), with a 25% shareholding or more, acquiring a further 5% up to 10% of currently circulating shares of the company within less than one year from the date of completion of a previous offer.
There is no guidance on building a stake by using derivatives. In addition, the bidder cannot purchase shares or share purchase rights outside the offer process during the tender offer period.
The bidder must publicly announce the tender offer in three consecutive editions of one electronic newspaper or one written newspaper and (for a listed company only) on the relevant stock exchange within seven days from the receipt of the State Securities Commission’s (SSC’s) opinion regarding the registration of the tender offer. The tender offer can only be implemented after the SSC has provided its opinion, and following the public announcement by the bidder.
Making the bid public
The offer timetable is as follows:
• The bidder prepares registration documents for its public bid to purchase shares.
• The bidder sends the bid registration documents to the SSC for approval and, at the same time, sends the registration documents to the target.
• The SSC reviews the tender documents within seven days.
• The board of the target must send its opinions regarding the offer to the SSC and the shareholders of the target within 14 days from receipt of the tender documents.
• The bid is announced in the mass media (although this is not a legal requirement).
• The length of the offer period is between 30 and 60 days.
• The bidder reports the results of the tender to the SSC within 10 days of completion.
Companies operating in specific sectors (such as banking, insurance, and so on) can be subject to a different timetable.
Offer conditions
A takeover offer usually contains the following conditions:
• The terms and conditions of the offer apply equally to all shareholders of the target.
• The relevant parties are allowed full access to the tender information.
• The shareholders have full rights to sell the shares.
• Applicable laws are fully respected.
An offer can also be subject to conditions precedent. Conditions precedent are set out in the share sale and purchase agreement or the capital contribution transfer agreement. There is no specific restriction on conditions precedent other than the requirement that they cannot be contrary to law and conflict with social ethics (although the legal definition of social ethics is unclear). The most common conditions precedent are:
• Amendments to the charter/relevant licence of the target.
• Obtaining necessary approvals to conduct the transaction.
• Changes to the target’s management body.
Payment of the contract price will only be made after the conditions precedent are met.
Employee consultation
There is no requirement under Vietnamese law that the employees must be consulted about the offer. However, if a layoff is to be conducted, the employer must:
• Prepare a labour usage plan.
• Consult with the employee representative.
• Notify the competent labour authority on the implementation of the labour usage plan.
When a tender offer is required?
A tender offer is required in the following cases:
• Purchase of a company’s circulating shares that results in a purchaser, with no shareholding, or less than a 25% shareholding, acquiring a 25% shareholding.
• Purchase of a company’s circulating shares that results in a purchaser (and affiliated persons of the purchaser), with a 25% or more shareholding, acquiring a further 10% or more of circulating shares of the company.
• Purchase of a company’s circulating shares that results in a purchaser (and affiliated persons of the purchaser), with a 25% shareholding or more, acquiring a further 5% up to 10% of currently circulating shares of the company within less than one year from the date of completion of the previous offer.
Form of consideration and minimum level of consideration
Under Vietnamese law, shares can be purchased by offering cash, gold, land use rights, intellectual property rights, technology, technical know-how or other assets. In practice, acquisitions are most commonly made for cash consideration.
In cases of full acquisition of state-owned enterprises, the first payment for the share purchase must not be less than 70% of the value of such shares, with the remaining amount being paid within 12 months.
In transactions involving auctions of shares by state-owned enterprises, the purchaser must make a deposit of 10% of the value of the shares registered for subscription based on the reserve price at least five working days before the auction date included in the target company’s rule. Additionally, the purchaser must transfer the entire consideration for the shares into the bank account of the body conducting the auction within ten working days of the announcement of the auction results.
In the case of a public tender offer, the payment and transfer of shares via a securities agent company appointed to act as an agent for the public tender offer must comply with Decree 58/2012/ND-CP.
Delisting a company
If a company seeks voluntarily de-listing, it must submit an application for de-listing that includes the following documents:
• A request for de-listing.
• For a joint stock company:
o the shareholders’ general meeting approval of de-listing of the stock;
o the board of directors’ approval of de-listing of bonds; and
o the shareholders’ general meeting approval of de-listing of convertible bonds.
• The members’ council (for a multi-member limited liability company) or the company’s owner (for a single member limited liability company) approval of de-listing of bonds.
• For a securities investment fund, the investors’ congress approval of de-listing of the fund’s certificate.
• For a public securities investment company, the shareholders’ general meeting approval of stock de-listing.
A listed company can only de-list its securities if de-listing is approved by a decision of the general meeting of shareholders passed by more than 50% of the voting shareholders who are not major shareholders.
If a company voluntarily de-lists from the Hanoi Stock Exchange or Ho Chi Minh Stock Exchange, the application for de-listing must also include a plan to deal with the interests of shareholders and investors. The Hanoi Stock Exchange or Ho Chi Minh Stock Exchange must consider the request for de-listing within ten and 15 days from the receipt of a valid application, respectively.
Transfer duties payable on the sale of shares in a company
Depending on whether the seller is an individual or a corporate entity, the following taxes will apply:
• Capital gains tax. Capital gains tax is a form of income tax that is payable on any premium on the original investor’s actual contribution to capital or its costs to purchase such capital. Foreign companies and local corporate entities are subject to a corporate income tax of 20%. However, if the assets transferred are securities, a foreign corporate seller is subject to corporate income tax of 0.1% on the gross transfer price.
• Personal income tax. If the seller is an individual resident, personal income tax will be imposed at the rate of 20% of the gains made, and 0.1% on the sales price if the transferred assets are securities. An individual tax resident is defined as a person who:
o stays in Vietnam for 183 days or longer within a calendar year;
o stays in Vietnam for a period of 12 consecutive months from his arrival in Vietnam;
o has a registered permanent residence in Vietnam; or
o rents a house in Vietnam under a lease contract of a term of at least 90 days in a tax year.
If the seller is an individual non-resident, he is subject to personal income tax at 0.1% on the gross transfer price, regardless of whether there is any capital gain.
Payment of the above transfer taxes is mandatory in Vietnam.
Regulatory approvals
The investor will need to register the capital contribution and purchase of shares if either:
• The target is operating in one of the 267 conditional sectors referred to in the 2015 Investment Law.
• The capital contribution and purchase of shares results in foreign investors owning 51% or more of the target’s charter capital (in particular, from below 51% to more than 51% and from 51% to above 51%).
The local Department of Planning and Investment where the target is located must issue its final approval within 15 days from the receipt of a valid registration application. However, in practice, this procedure can take several months due to the workload of certain central authorities and the lack of clear guidance documents. Therefore, the registration requirement can cause substantial delays to the whole M&A process.
In other cases, the target company only needs to register change of membership / shareholders at the Business Registration Division.
Restrictions on repatriation of profits and/ or foreign exchange rules for foreign companies
If the target company in Vietnam already has an investment registration certificate, it must open a direct investment capital account at a licensed bank in Vietnam. Payment for a share purchase by a foreign investor must be conducted through this account. The account can be denominated in Vietnamese dong or a foreign currency. In addition, if the foreign investor is an offshore investor, it will also need to open a capital account at a commercial bank operating in Vietnam to carry out the payment on the seller’s account and receive profits.
If the target company in Vietnam does not have an investment registration certificate, the foreign investor will need to open an indirect investment capital account for payment to the seller and remittance of profits.
***
Please do contact the author Dr. Oliver Massmann under omassmann@duanemorris.com if you have any questions on the above. Dr. Oliver Massmann is the General Director of Duane Morris Vietnam LLC.

Lawyer in Vietnam Dr. Oliver Massmann Public Mergers and Acquisitions: market analysis overview 2018

Largest / most noteworthy public M&A transactions in the past 12 months
Oil gas and chemicals
In May 2017, Earth Chemical bought 100% stake in A My Gia Joint Stock Company at about USD79.2 million.
Financial
In July 2017, Vietnam International Joint Stock Commercial Bank bought 100% business of Commonwealth Bank of Australia (Ho Chi Minh Branch).
In December 2017, Shinhan Bank Vietnam Ltd. (“Shinhan Bank Vietnam”) acquired ANZ Bank (Vietnam) Limited’s retail business. This successful transaction has been considered as a big step for Shinhan Bank Vietnam’s development in Vietnam market, as well as a rapid growth for Vietnam retail banking in the upcoming time.
Other
Retail. Noteworthy public M&A deals include the following:
• In January 2018, Creador (a private Kula Lumpur-based investment fund) bought 35% shares of Mobile World Investment JSC at USD43 million.
• ThaiBev buying more than 53% shares in Sabeco – a company owned by the Ministry of Industry and Trade at USD 5 billion.
• In November 2017, JD.com bought shares in Tiki JSC at USD 44 million.
• In June 2017, Alibaba Group additionally bought shares of Lazada at USD1 billion, thus increasing its shares in Lazada to 83%.
• In July 2017, Sea Limited (Singapore) bought 82% shares of Foody Corporatio at USD64 million.
• In April 2017, Shinhan Vietnam Bank bought the retail business of ANZ at an undisclosed value.
• In May 2017, Bien Hoa Sugar Company and Thanh Thanh Cong Tay Ninh Sugar Company bought 100% charter capital of HAGL Sugar at about USD58.52 million.
• Synnex Technology International bought 30% shares of FPT Retail and 47% shares of FPT Trading from FPT Corporation at around USD 41 million.
Food. Noteworthy deals include the following:
• In mid- November 2017, Jardine Cycle & Carriage Limited (JC&C), via Platinum Victory Pte. Ltd bought 5.53% shares of Vinamilk at USD616.6 million.
• In late March 2017, CJ Cheiljedang Corporation bought 20% stake in Saigon Trading Corporation at USD8.2 million, bringing its total ownership in Cau Tre Export Products Processing Joint Stock Company to 71.6%.
• In May 2017, Kido Corporation bought 27% stake in Vietnam Vegetable Oil Industry Corporation, bringing its total ownership in the company to 51%.
Real estate. Noteworthy deals include the following:
• Warburg Pincus in joint venture with VinaCapital bought 50% shares in Sofitel Legend Metropole Hanoi at about USD100 million.
• Warburg also established a joint venture with Becamex Industrial Development Corporation to invest in industrial real estate and logistics services with a capital of USD200 million.
• In May 2017, Elite Capital Resources Limited bought 100% shares of VinaLand Fund (VinaCapital) in Thang Long Limited Company (project owner of Times Square Hanoi) at USD41 million.
• In the first quarter of 2017, Sulyna Hospitality bought 70% stake in a 4-start resort in Phu Quoc from Berjaya Land at USD14.65 million.
• In the first quarter of 2017, An Gia Investment Corporation and its partner Creed Group bought 5 apartment blocks of La Casa Project of Van Phat Hung Corporation at about USD40 million.
• In March 2017, Keppel Corporation increased its shares in Saigon Centre project ato 16% at USD37 million.
• In January 2017, CapitaLand announced the purchase of 90% stake in CapitaLand Thanh Nien.
• Shinhan cooperated with Vinacapital to invest USD100 million in Novaland
Insurance. Noteworthy deals include the following:
• In April 2017, Aviva Insurance Corporation bought 50% stake of VietinBank Aviva Joint Venture Company from Vietnam Joint Stock Commercial Bank for Industry and Trade.
The major trends in the structuring of public M&A transactions
In Vietnam, M&A transactions usually take the form of either share or asset acquisitions, with share acquisition transactions outnumbering asset acquisition transactions.
Share acquisitions by foreign purchasers are commonly structured as offshore direct investments. The new investor can:
• Acquire shares or capital contributions from an existing shareholder in the target (for example, a joint stock company, limited liability company, and so on).
• Subscribe for newly issued shares of the target (for a joint stock company).
• Make further capital contributions to the target (for a limited liability company).
In the case of an asset deal, a foreign purchaser must generally establish a new subsidiary in Vietnam.
In addition, M&A transactions can also take the form of a merger. One or more companies of the same type can be merged into another company by transferring all assets, rights, obligations and interests to the merged company, terminating the existence of the merging company.
The 2014 Enterprise Law sets out the types of business structuring that can be used by investors as a result of M&A transactions. In addition, the 2014 Investment Law is the first law that regulates M&A transactions and clearly provides that such transactions do not require an investment registration certificate. Now, the foreign investors must seek approval from the local Department of Planning and Investment of the transaction if the:
• Target company operates in conditional business sectors applicable for foreign investors.
• Investment leading to foreign ownership of the target company is 51% or more (in particular, from below 51% to more than 51% and from 51% to above 51%).
In other cases, the target company only needs to register a change of membership/shareholding at the Business Registration Division. This change has ended years of uncertainty and frustration faced by foreign investors seeking entry into the Vietnam market or expansion through M&A transactions.
The level/extent of private equity-backed bids in the past 12 months
Investment in the form of M&A transactions is still the most popular form compared with private equity investment. In recent months, private equity funds have been following the securities market in Vietnam, especially companies carrying out value chain operations. Consumer goods and infrastructure are the sectors that attract the most attention. However, due to limited publicly available information, it is not possible to fully assess the level of private equity-backed bids.
The approach of the competition regulator(s) in the past 12 months
The Vietnam Competition Authority under the Ministry of Industry and Trade (VCA) must be notified of the transaction if participating companies have a combined market share in the relevant market of 30% up to 50%. The VCA will then examine whether the calculation of the combined market share is correct and whether the transaction is prohibited (that is, whether the combined market share exceeds 50%, except in certain cases). The transaction can be conducted when the VCA issues a written confirmation that the transaction is not prohibited under competition law.
In recent Grab buying Uber case in South East Asia, the VCA has started its investigation of possible violation of Vietnam’s Competition Law. The case is still at the examination stage.
For more information on the VCA, see www.vca.gov.vn/Default.aspx?lg=2.
Main factors affecting the public M&A market over the next 12 months
The country’s deeper and wider integration into the world’s economy is offering new opportunities for M&A activities.
Another factor includes the high pressure faced by the government to privatise state-owned enterprises to meet requirements under signed trade pacts, especially the EU – Vietnam Free Trade Agreement, which is expected to come into force in 2019.
Encouraging signs for foreign investment include:
• Reformed policies to allow wider access to foreign investors.
• ASEAN Economic Community single market and production base.
• The conclusion of free trade agreements (FTAs), including the EU – Vietnam FTA and The Comprehensive and Progressive Trans-Pacific Partnership (CPTPP).
• Vietnam’s super rich population is growing faster than anywhere else and is on track to continue leading the growth in the next decade.
• Equitization of state-owned enterprises will speed up.
The introduction of the new Investment Law, Enterprise Law, Resolution No. 42 on handling bad debts and other laws and policies are creating an improved legal environment for investment and trade in general, and the M&A market in particular. However, the following factors also affect M&A transactions:
• Divergent interpretations and implementations by local licensing authorities of international treaties such as Vietnam’s WTO Commitments.
• Different licensing procedures applied to different types of transactions (for example, for foreign invested companies and domestic companies, public companies and private companies, and for buying state-owned shares or private shares).
Although legal and governance barriers, along with macro instability and the lack of market transparency are still the greatest concerns for investors, M&A deals in Vietnam are still expected to be one of the key, effective channels for market entry.
The major expected trends in the Vietnam M&A market include:
• Bank restructurings.
• Acquisitions and anti-acquisitions, particularly in the real estate sector.
• Growing Japanese and Thai investment in Vietnam through M&A transactions.
• Reform of SoEs.
***
Please do contact the author Dr. Oliver Massmann under omassmann@duanemorris.com if you have any questions on the above. Dr. Oliver Massmann is the General Director of Duane Morris Vietnam.

Rechtsanwalt in Vietnam Dr. Oliver Massmann ENERGIE STROMSEKTOR

VIETNAM ENERGIE STROMSEKTOR – Aktuelle Probleme und Lösungen im Hinblick auf Investments sowie ein Ausblick auf die wichtigsten Handelsabkommen TPP 11 und EUVNFTA

A. Überblick
Vietnam bietet großes Potential im Bereich der Erneuerbaren Energien. Es gehört zu den Ländern mit den meisten Sonnenstunden im Jahr und bietet eine 3000km lange Küste. Somit bestehen optimale Voraussetzungen zur Entwicklung von Solar- und Windenergie. Demzufolge ist Vietnam in der Lage viele ausländische Investoren anzuziehen. Außerdem ist die neue Solar-PPA in diesem Jahr in Kraft getreten, die das Problem der mangelnden Regulierung im Solarbereich löst. Weitere wichtige Entwicklungen sind die Verkündung des Rundschreibens 16/2017/TT-BCT zur Stromverteilung von Photovoltaikanlagen und die Erleichterung eine Betriebslizenz für Kraftwerke (mit LMW Kapazität) zu erhalten.
Die Umsetzung der Vereinbarung zum direkten Erwerb könnte demnächst in die Testphase eingeleitet werden und so zu leichterem Zugang zu Erneuerbaren Energien führen. Nach Schätzungen wird dies zu einer Erhöhung der Investments auf bis zu zwei Milliarden US-Dollar führen. Bemerkenswert ist darüber hinaus die Erhöhung der Windenergieabgabe Anfang August 2017. Vietnam hat nun eine Windkraftanlage von 160 MW. Dies soll zu neuen ausländischen Investitionen im Bereich der Windenergie führen.
B. Herausforderungen
1. Umwelt
Die Regierung implementiert nach und nach neue Regulierungen zum Umweltschutz. Vietnam versucht aktiv CO2- Emissionen zu reduzieren. Die Strafen im Falle der Verletzung bleiben jedoch gering. In Zukunft bedarf es neuer Regularien zum Umweltschutz, insbesondere im Bereich der Fossilen Energien, die bekanntermaßen eine große Umweltbelastung darstellen. Daher sollten die Projektentwickler zu höchsten Energiestandards verpflichtet werden.
2. Solar-PPA
Verschiedene Probleme im Bereich der Solarpolitik müssen angesprochen werden. Im Allgemeinen können die Ziele im Bereich der Erneuerbaren Energien, auch was die ausländischen Investments angeht, bisher nicht erreicht wurden, da noch zu viele offene Fragen bezüglich der Strompreise und des endgültigen Inhalts der Kaufverträge bestehen. Dies führt zu Zurückhaltung der Investoren und infolgedessen zur Verlangsamung des Ausbaus von Erneuerbaren Energien in Vietnam. Aufgrund mangelnder Transparenz fehlt es an Preissicherheit. Zudem bedarf der Einzelhandel einer Roadmap. Darüber hinaus könnte die Bestimmung eines Preisrahmens zu mehr Investitionen in Off-Grid-Projekte führen, die den Druck von der EVN Strom zu produzieren verringern könnte. Dadurch würde das Stromnetzwerk, insbesondere zur Hauptbelastungszeit, entlastet.
Darüber hinaus enthält die Solar-PPA folgende Bestimmungen für Investoren:
a) Keine Zahlungsverpflichtung der EVN bei Versorgungssproblemen
b) Fehlende transparente Möglichkeiten zur internationalen Schiedsgerichtsbarkeit
c) Mangelhafte Finanzierungsfaehigkeit von PPAs: Der endgültige PPA muss angepasst werden, um Investoren mehr Sicherheit zu gewähren und mehr ausländische Investitionen anzuziehen. Darüber hinaus müssen die bestehenden Verwaltungsvorschriften mehr Effizienz im Bereich der Photovoltaik und einfacheren Marktzugang zulassen. Dies gilt insbesondere im Hinblick auf die wichtigsten Handelsabkommen TPP 11 und EUVNFTA.
3. Energiespeicher
Die Solarbatterie ist die übliche Art der Energiespeicherung, die jedoch in Vietnam noch nicht weit genug entwickelt ist. Es besteht aber die Möglichkeit im Bereich der Speichertechnologien führend in der östlichen Welt zu werden. Dieser Faktor, sowie der Umstand, dass Energiespeicherloesungen fuer abgelegene Inseln benötigt werden, sprechen fuer die Notwendigkeit der fortwährenden Entwicklung dieser Technologien.
4. Projektantraege
Zurzeit bestehen viele offene Anträge für Photovoltaikanlagen. Dies führt zu Bedenken hinsichtlich einer möglichen Blasenbildung am Markt. Projektentwicklungen und Investments verzögern sich hierdurch und verursachen Unsicherheit bei den Anlegern.
Um Ausschreibungen zu gewinnen, ist es fuer Anleger wichtig folgendes sicherzustellen:
a) Sicherheiten fuer Mensch, Tier, Umwelt und Haushalt
b) Netzanbindung
c) Ausreichende finanzielle Solvenz hinsichtlich der Durchführbarkeit des Projekts
d) Erfahrung im Bereich Energie und Infrastruktur, durch erfolgreiche Projekte nachgewiesen
Dafür garantiert das Ministerium für Industrie und Handel (MOIT) den Zugang zum nationalen Stromnetz für alle Investoren. Laut dem MOIT ist das Stromnetz bisher erst zu 30% ausgelastet. Somit sind Bedenken in Hinsicht auf die fehlende Möglichkeit Strom zu verkaufen unnötig.
C. Ausblick auf die wichtigsten Handelsabkommen TPP 11 und EUVNFTA
Nach dem Zurückziehen der USA aus dem TPP im Januar 2017, einigten sich die verbleibenden TPP-Mitglieder im November 2017 auf einen Verbund ohne die USA. Dieser trägt den Namen CPTPP (TPP 11). Dieses Abkommen soll von allen Mitgliedsstaaten im ersten Quartal 2018 unterzeichnet werden. Danach müsste es in allen Mitgliedsstaaten ratifiziert werden, um Wirksamkeit zu entfalten. Das TPP 11 verspricht große Vorteile für Vietnams Energiesektor. Das Abkommen zielt auf die Aufhebung von Zöllen zwischen den Mitgliedsstaaten für gewisse Waren und Güter ab. Dies wird dem vietnamesischen Energiesektor aufgrund seiner technischen Überlegenheit, der Kostenreduktion und der Nachfrage nach Erneuerbaren Energien Auftrieb verleihen.
Ebenfalls interessant ist in diesem Hinblick das Handelsabkommen zwischen der EU und Vietnam, das sog. EUVNFTA. Das EUVNFTA bietet die Möglichkeit, sowohl für die EU als auch für Vietnam, neue Märkte zu erschließen. Aufgrund des leichteren Zugangs und der Abschaffung von 99% aller Zölle, wird Vietnam mehr Kapital anziehen. Darüber hinaus wird der Arbeitnehmerschutz Vietnams verbessert. Dies stellt einen Kernaspekt bei der Arbeit an Photovoltaikanlagen dar.
Es kann von einer allgemeinen Stärkung von Vietnams Wirtschaft infolge des EUVNFTA ausgegangen werden. Dies gilt insbesondere auch aufgrund der Steuersenkungen auf 0% für jegliche Ausrüstung zur Produktion von Erneuerbarer Energien. Außerdem gilt der Gleichbehandlungsgrundsatz fuer Unternehmen. Aufgrund der neuen Möglichkeiten Geschäfte zu machen, wird eine nachhaltige Entwicklung hin zu einer noch dynamischeren Wirtschaft mit besseren Investitionsmoeglichkeiten sichergestellt.
Außerdem wird die Möglichkeit zur Streitbeilegung zwischen Anleger und Staat (Investor State Dispute Settlement [ISDS]) den höchsten Standards der Rechtssicherheit –und Durchsetzung genügen. Anlegerschutz wird so gewährt.
Wir raten Ihnen, diese Standards fuer sich zu nutzen. Gerne beraten wir Sie hierbei.
Dieser Standard wird unter dem TPP 11 und der EUVNFTA Anwendung finden. Hiernach haben Anleger bei Rechtsstreitigkeiten die Möglichkeit, die Klage im Gastland nach den Standards der internationalen Schiedsgerichtsbarkeit zu erheben. Um Transparenz sicherzustellen, wird das Schiedsverfahren öffentlich gehalten. Im Zusammenhang mit der Diskussion um die Zukunft des TPP wurde im November 2017 der Anwendungsbereich der ISDS um die Kapitel “Investitionsvereinbarungen” und “Investitionsbewilligung” verringert.
Weitere Sicherheit wird durch das Government Procurement Agreement (GPA) gewährleistet, das ebenso Teil beider Handelsabkommen sein wird. Das GPA stellt vor allem sicher, dass ausländische Investoren zu vietnamesischen Investoren gleichbehandelt werden, wenn die Regierung Waren oder Dienstleistungen über einen gewissen Grenzwert kauft. Vietnam verpflichtet sich zur Veröffentlichung von Information zur Ausschreibung, sowie den Bietern ausreichend Zeit zur Vorbereitung und Abgabe von Angeboten zu gewähren und die Vertraulichkeit der Angebote zu wahren. Zudem verlangt das GPA von den Parteien die Bewertung der Angebote auf Grundlage der Fairness und Objektivität. Angebote sind nach Maßstab von Bekanntmachungen und Ausschreibungsunterlagen zu bewerten und zu vergeben, die wirksame Regelungen für Beschwerden und Streitbeilegung beinhalten.
Dieses Instrument wird fairen Wettbewerb und Qualitaetssicherung gewährleisten.
Falls weitere Fragen zum Thema bestehen, würden wir uns über Ihren Kontakt freuen. Wenden Sie sich hierzu bitte an Dr. Oliver Massmann (omassmann@duanemorris.com). Dr. Oliver Massmann ist der Generaldirektor von Duane Morris Vietnam LLC.
Vielen Dank.

Anwalt in Vietnam Dr. Oliver Massmann: Die Weltbank stellt Duane Morris Fragen zur Vergabe von Regierungs- und öffentlichen Aufträgen in Vietnam. Dies sind unsere Antworten

Anwalt in Vietnam Dr. Oliver Massmann: Die Weltbank stellt Duane Morris Fragen zur Vergabe von Regierungs- und öffentlichen Aufträgen in Vietnam. Dies sind unsere Antworten

Anwendbarer Rechtsrahmen und aktuelle Reformen

1. Welche Institution führt die Auftragsvergabe bei staatlichen Straßen durch?

Das Verkehrsministerium

2. Ist Ihnen bekannt, dass sich zwischen dem 1. Juni 2017 und dem 1. Mai 2018 Änderungen (in der Praxis oder bei Gesetzen / Vorschriften / Verfahren) im Zusammenhang mit dem öffentlichen Auftragswesen ergeben haben? Zum Beispiel: Änderungen der anwendbaren Gesetze zur öffentlichen Vergabe, Verabschiedung und / oder Umsetzung neuer Vorschriften, Einführung oder Verbesserung von E-Procurement-Plattformen, Änderungen des Rahmens für Angebotssicherheit und Leistungsgarantien usw.

Ja. Das Gesetz zur Unterstützung kleiner und mittlerer Unternehmen, das am 12. Juni 2017 von der Nationalversammlung verabschiedet wurde und am 1. Januar 2018 in Kraft tritt.

3. Bitte stellen Sie eine Liste der Gesetze, Vorschriften und anderen verbindlichen Materialien (einschließlich verbindlicher Standardbeschaffungsdokumente und -verträge) bereit, die die öffentliche Vergabe in Vietnam regeln. Bitte fügen Sie Rechtsvorschriften oder andere verbindliche Materialien bei, die auf nationaler / Bundesebene verkündet wurden, sowie alle zusätzlichen Gesetze, die für die Beschaffungsstelle gelten, die in Abschnitt 1 beschrieben wird.

The Civil Code of Vietnam No. 91/2015/QH13 durch die Nationalversammlung von Vietnam vom 24 November 2015 (“Civil Code”);
Construction Law No. 50/2014/QH13 durch die Nationalversammlung von Vietnam vom 18 Juni 2014 (“Construction Law”);
Law on Bidding No. 43/2013/QH13 durch die Nationalversammlung von Vietnam vom 26 November 2013 (“Bidding Law”);
Law on Public Investment No. 49/2014/QH13 durch die Nationalversammlung von Vietnam vom 18 Juni 2014 (“Law on Public Investment”);
Commercial Law No. 36/2005/Qh11 durch die Nationalversammlung von Vietnam vom 14 Juni 2005 (“Commercial Law”);
Decree No. 63/2014/ND-CP von der Regierung vom 26 Juni 2014 betreffend Law on Bidding (“Decree No. 63/2014/ND-CP”);
Decree No. 37/2015/ND-CP von der Regierung vom 22 April 2015 über Ausgestaltung von Bauverträgen (“Decree No. 37/2015/ND-CP”);
Decree No. 46/2015/ND-CP von der Regierung vom 12 Mai 2015 über Qualitätssicherung und Überwachung bei Bauwerken (“Decree No. 46/2015/ND-CP”);
Decree No. 30/2015/ND-CP von der Regierung vom 17 Maerz 2015 on detailing certain provisions of the Law on Bidding on selection of bidders (“Decree No. 30/2015/ND-CP”);
Decree No. 15/2015/ND-CP by the Government dated 14 February 2015 on public-private partnership investment (“Decree No. 15/2015/ND-CP”);
Circular No. 04/2017/TT-BKHDT durch das Ministerium fuer Planung und Investition vom 15 November 2017 zur detailing the selection of bidders via the national biding portal (“Circular No. 04/2017/TT-BKHDT”);
Circular No. 26/2016/TT-BXD durch das Ministerium für Konstruktion vom 26 Oktober 2016 zu detaillierten bestimmten Bedingungen über Managementqualitaet und Überwachung von Konstruktionsarbeiten (“Circular No. 26/2016/TT-BXD”);
Circular No. 10/2016/TT-BKHDT durch das Ministerium für Planung und Investition zu Ausarbeitung der Supervision, Folgen und Untersuchung von Bieteraktivität (“Circular No. 10/2016/TT-BKHDT”);
– Circular No. 23/2015/TT_BKHDT durch das Ministerium für Planung und Investition vom 21 Dezember 2015 Ausarbeitung der Erstellung des Evuking the evaluation report on bidding documents (“Circular No. 23/2015/TT-BKHDDT”);
– Circular No. 10/2015/TT-BKHDT durch das Ministerium für Planung und Investition vom 26 Oktober 2015 on detailing the plan for bidder selection (“Circular No. 10/2015/TT-BKHDT”);
– Circular No. 01/2015/TT-BKHDT durch das Ministerium fuer Planung und Investition vom 14 February 2015 zur detaillierten Vorbereitung des Dossiers für Sorgen, Einladungsdossier fuer Bieter Invitation Dossier for Bidding, and Request dossider for consultancy services (“Circular No. 01/2015/TT-BKHDT”);
– Circular No. 17/2010/TT-BKH durch das Ministerium fuer Planung und Investition 22 Juli 2010 detailliert ein Onlinebieterprogramm (“Circular No. 17/2010/TT-BKH”);
– Official Letter No. 5356/BKHDT-QLDT durch das Ministerium für Planung und Investition vom18 August 2014 zur Registrierung von Bieterinformationen im nationalen Bieternetzwerksystem;
– Official Letter No. 4962/BKHDT-QLDT durch das Ministerium für Planung und Investition vom 31 Juli 2014 zur Umsetzung des Law on Bidding No. 43/2013/QH13 betreffend der Investorenauswahl;
– Official Letter No. 4054/BKHDT-QLDT durch das Ministerium fuer Planung und Investition vom 7 Juni 2014 zur Umsetzung des Law on Bidding No. 43/2013/QH13 und Decree No. 63/2014/ND-CP;
– Official Letter No. 5186/BKHDT-QLDT durch das Ministerium fuer Planung und Investition vom 11 August 2014 betreffend die Ausführung und Veröffentlichung von Bieterinformationen in der Übergangsphase.

E-Procurement-Plattformen

4. Falls es in Vietnam ein oder mehrere elektronische Vergabeportale (d.h. eine offizielle Website speziell für das öffentliche Vergabe) geben sollte, nennen Sie diese bitte.

Nationale Ebene – Link:
www.muasamcong.mpi.gov.vn

5. Wenn mehrere elektronische Vergabeplattformen zur Verfügung stehen, welche würden höchstwahrscheinlich für eine Ausschreibung wie die in Abschnitt 1 beschriebene genutzt werden?

6. Wenn ein Vergabe-Portal von der Vergabestelle genutzt wird, wie viele Bauaufträge werden über das Portal vergeben?

Weniger als 25%

7. Wenn elektronische Vergabeportale verfügbar sind, geben Sie bitte an, welche der folgenden Aktionen über jedes Portal ausgeführt werden können:

Zugriff auf Hinweise zu Vergabemöglichkeiten: Vergabestelle und Bieter
Zugriff auf Ausschreibungsunterlagen: Vergabestelle und Bieter
Zugriff auf Ausschreibungsunterlagen: Vergabestelle und Bieter
Aufforderung an die Vergabestelle zur Klärung: Bieter
Einreichung von Angeboten: Bieter
Gebotssicherheit abgeben: Bieter
Öffnungsgebote: Beschaffende Einheit
Bekanntgabe von Entscheidungen (Klarstellung, Vergabe, etc.): Vergabestelle
Zugang zu Vergabeentscheidungen: Vergabestelle und Bieter
Zugang zu Erläuterungen zu Vergabeentscheidungen: Vergabestelle und Bieter
Einreichungsgarantie: Bieter
Vertragsunterzeichnung: Vergabestelle und Bieter

Phasen des Vergabeprozesses

Der Rest dieses Fragebogens folgt der chronologischen Entwicklung eines Beschaffungszyklus, beginnend mit dem Prozess, den die Vergabestelle unternimmt, um ihren Bedarf zu bewerten und das Budget zu sichern. Der Fragebogen untersucht dann die Schritte, die ein lokales Unternehmen machen müsste, um: (i) einen Regierungsvertrag zu sichern; (ii) die vereinbarten Arbeiten zu liefern; und (iii) Zahlung erhalten. Der folgende Abschnitt konzentriert sich auf Planung und Budget.
Phase 1: Budgetierung und Bedarfsanalyse

Zur Definition der “Vergabestelle” siehe Abschnitt 1.

8. Wenn die Vergabestelle einen neuen Auftrag veroeffentlichen moechte, schätzt sie dann den Auftragswert?

Ja. Artikel 35 des Angebotsgesetzes
a. Wie wird der Vertragswert für den Fall wie den in Abschnitt 1 beschriebenen geschätzt:

Es wird basierend auf dem gesamten investierten Kapital oder dem geschätzten Budget (falls vorhanden) für das Projekt festgelegt. Alle Ausgaben sind enthalten, einschließlich Reservekosten, Gebühren, Gebühren und Steuern.

b. Wer erstellt diese Schätzungen?
Die Beschaffungsstelle oder der Investor des Projekts

c. Ist der geschätzte Auftragswert in der Ausschreibungsbekanntmachung / den Ausschreibungsunterlagen veröffentlicht?
Ja. Artikel 35 des Angebotsgesetzes

9. Muss die Beschaffungsstelle das Budget für ein bestimmtes Projekt bereits vor der Ausschreibung zugewiesen haben?

Ja. Artikel 35 des Angebotsgesetzes

Phase 2: von der Werbung zur Gebotsabgabe
Die folgenden Fragen beziehen sich auf die Anfangsphase des Vergabeprozesses und konzentrieren sich darauf, wie die Vergabemethode ausgewählt wird, wie das Angebot veröffentlicht wird und wie Angebote vom privaten Sektor erhoben werden. Zur Definition der “Vergabestelle” siehe Abschnitt 1.
Vergabemethode
10. Sollte nach dem rechtlichen Rahmen eine Ausschreibung (d.h. der Prozess, in dem ein Unternehmen ein Angebot abgeben kann) in Vietnam die Standardbeschaffungsmethode für einen Vertrag wie den in Abschnitt 1 beschriebenen sein?
Nein, Abschnitt 1, Kapitel 2 des Angebotsgesetzes
11. Was ist in der Praxis die häufigste Beschaffungsmethode für einen Auftrag wie den in Abschnitt 1 beschriebenen?
Offene Ausschreibungen sind nicht der Standard, sondern bleiben am häufigsten für einen Fall, der mit der Fallstudie vergleichbar ist.
12. Definiert der Rechtsrahmen die Situationen, in denen offene Ausschreibungen verwendet werden müssen (einschließlich Schwellenwerte)? Wenn der Rechtsrahmen Ausnahmen von offenen Ausschreibungen regelt, listen Sie diese bitte auf.
Ja. Artikel 20 des Angebotsgesetzes. Ausnahmen von offenen Ausschreibungen sind Fälle mit beschränkter Ausschreibung, Direktvergabe, Wettbewerbsdialog, Direktbeschaffung, Selbstdurchführung, Gemeinde- und Beteiligungsauswahl von Bietern in einigen Sonderfällen (Artikel 21 Absatz 27 des Angebotsgesetzes).
13. Verbietet der Rechtsrahmen die Aufteilung von Verträgen, um Schwellen für offene Ausschreibungen zu umgehen?
Ja. Artikel 89.6 (k) des Angebotsgesetzes
a. Wie oft passiert das in der Praxis?
Sehr selten (<10% der Fälle)
14. Welche Strategien werden häufig verwendet, um die Regeln und Schwellenwerte für die offene Auftragsvergabe zu umgehen?
Die Beschaffungsstelle legt sehr hohe technische Spezifikationen fest
15. Welche der folgenden Materialien müssen von der Beschaffungsstelle öffentlich zugänglich gemacht werden?
Per Gesetz und öffentlich in der Praxis verfügbar
Vergabepläne: Artikel 8.1 des Angebotsgesetzes
Ausschreibungen: Artikel 8.1 des Angebotsgesetzes
Ausschreibungsunterlagen und technische Spezifikationen: Artikel 8.1 des Angebotsgesetzes
Bekanntmachungen der Zuschlags- / Ausschreibungsergebnisse: Artikel 8.1 des Angebotsgesetzes
16. Wo werden die oben genannten Materialien veröffentlicht?
Internet – Link: http://muasamcong.mpi.gov.vn/
Zeitungen
Andere: Websites von Ministerien, lokalen Stellen, Provinzen oder anderen öffentlichen Massenmedien
Ausschreibungstexte und Ausschreibungsunterlagen
17. Gibt es nach dem rechtlichen Rahmen eine Mindestfrist zwischen der Ausschreibung und der Einreichungsfrist für ein offenes Ausschreibungsverfahren wie das in Abschnitt 1 beschriebene?
Ja. Artikel 12.1 des Angebotsgesetzes
ein. Wie viele Tage vergingen in der Praxis zwischen der Ankündigung der Ausschreibung und der Einreichungsfrist für einen Fall wie den in Abschnitt 1 beschriebenen?
30 -40 Tage

18. Legt der rechtliche Rahmen den Mindestinhalt der Ausschreibungsbekanntmachung und der Ausschreibungsunterlagen fest? Wenn "Ja", bitte die Anforderungen auflisten.
Ja. Artikel 218 bis 219 des Handelsgesetzes. Die Ausschreibung muss Folgendes enthalten: a / Name und Anschrift der beschaffenden Stelle; b / Kurze Beschreibung des Angebotsinhaltes; c) Zeitlimit, Ort und Verfahren für den Erhalt von Angebotsunterlagen; d) Zeitlimit, Ort und Verfahren für die Einreichung von Angebotsunterlagen; e / Anleitung zur Klärung der Ausschreibungsunterlagen.
Ausschreibungsunterlagen müssen enthalten: a / Ausschreibung; b) Anforderungen an die Beschaffung von Waren oder Dienstleistungen; c / Methoden der Bewertung, Vergleich, Ranking und Auswahl der Bieter; d / Weitere Anweisungen zum Bieten
a. Welche der folgenden Punkte sind in der Regel NICHT in der Ausschreibungsbekanntmachung und / oder den Ausschreibungsunterlagen enthalten?

– Gründe für den Ausschluss von Bietern

– Hauptvertragsbedingungen

– Zahlungsplan im Vergabevertrag

Lohnbearbeitung
19. Reguliert der Rechtsrahmen die Vergabe von Unteraufträgen?
Ja. Artikel 128.2 des Dekrets Nr. 63/2014 / ND-CP
20. Kann die Vergabestelle nach dem rechtlichen Rahmen feststellen, dass ein Teil des Auftrags vom ursprünglichen Auftragnehmer zu erbringen ist und nicht untervergeben werden kann? Zum Beispiel müssen 25% des Vertrags von dem Unternehmen ausgeführt werden, das das Angebot erhält.
Ja. Es gibt keine Anforderung für einen bestimmten Teil.
21. Sind die Bieter nach dem rechtlichen Rahmen verpflichtet, ihre Absicht offen zu legen, Teile des Vertrags bei der Abgabe ihres Angebots unterzuvergeben?
Ja. Artikel 4.36 des Angebotsgesetzes, Artikel 128.2 (b) des Dekrets Nr. 63/2014 / ND-CP
22. Wenn die Absicht, einen Unterauftrag zu vergeben, nicht im Angebot angegeben wurde, was muss der Auftragnehmer tun, der nach Vertragsunterzeichnung Subaufträge erteilt?
Nichts des oben Genannten
23. Kann der Unterauftragnehmer von der Vergabestelle für geringe Arbeitsqualität haftbar gemacht werden? Kann der Unterauftragnehmer nur unter bestimmten Umständen haftbar gemacht werden, listen Sie diese bitte auf.
Nein. Artikel 128.2 (a) des Dekrets Nr. 63/2014 / ND-CP
Erläuterungen
24. Wenn ein potenzieller Bieter von der Vergabestelle Klarstellungen zu den Ausschreibungsunterlagen verlangt, wie werden diese dann am häufigsten angegangen?
Die Vergabestelle behandelt alle Fragestellungen in einer öffentlichen Sitzung
Die Vergabestelle wird antworten, und es ist immer erforderlich, die Antwort auch allen anderen Bietern mitzuteilen. – Rechtsgrundlage: Artikel 14.2 (c) des Dekrets Nr. 63/2014 / ND-CP
Erläuterungen
24. Wenn ein potenzieller Bieter von der Vergabestelle Klarstellungen zu den Ausschreibungsunterlagen verlangt, wie werden diese dann am häufigsten angegangen?
Die Vergabestelle behandelt alle Klärungen in einer öffentlichen Sitzung
Die Vergabestelle wird antworten, und es ist immer erforderlich, die Antwort auch allen anderen Bietern mitzuteilen. – Rechtsgrundlage: Artikel 14.2 (c) des Dekrets Nr. 63/2014 / ND-CP
25. Werden in der Praxis Abklärungen als Gelegenheit genutzt, mit der Vergabestelle zu verhandeln?
Nein.
26. Verbietet der Rechtsrahmen informelle Treffen zwischen der Vergabestelle und einem Bieter während des Ausschreibungsverfahrens?
Nein. Artikel 89 des Angebotsgesetzes
a. Wie oft finden diese Treffen in der Praxis statt?
Selten (zwischen 10-25%)
Bietersicherheit
27. Verlangt der Rechtsrahmen, dass BidCo eine Form der Angebotsgarantie anbietet?
Ja. Artikel 11.1 des Angebotsgesetzes
28. Welches Instrument würde BidCo in der Praxis am häufigsten als Angebotsgarantie nutzen?
Bid-Kaution – Bitte geben Sie den Betrag an: 55 Mio. VND – 170 Mio. VND
29. Wenn BidCo benötigt wird, welches ist das gebräuchlichste Instrument der Geldsicherheit?
Bargeld
Bankgarantie / Akkreditiv

Phase 3: von der Angebotseröffnung bis zur Vertragsunterzeichnung

Die folgenden Fragen beziehen sich auf die Eröffnung des Angebots, die Angebotsbewertung, die Ausschlüsse und die Vertragsunterzeichnung. Bitte beziehen Sie sich bei der Beantwortung dieser Fragen weiterhin auf die in Abschnitt 1 beschriebenen Annahmen für die Fallstudie. Für die Definition von "Vergabeunternehmen" wird auf Abschnitt 1 verwiesen.
Zeit (Kalendertage)
30. Legt der Rechtsrahmen einen Zeitrahmen fest, innerhalb dessen die Vergabestelle die Angebotsöffnung nach Ablauf der Frist für die Angebotsabgabe fortsetzen kann?
Ja. Artikel 14.3 (b) des Dekrets Nr. 63/2014 / ND-CP
a. Beabsichtigt die Vergabestelle in der Praxis, sofort eine Gebotsöffnung anzubieten (d. H. Zu dem genauen Tag und Zeitpunkt der Abgabe der Gebotsabgabe)?
Ja.
b. Wenn nicht sofort, wie viele Kalendertage nach dem Stichtag im Durchschnitt?

Zeit: Hauptgründe für die Verzögerung

31. In der Praxis würde in einem mit dem Szenario der Fallstudie vergleichbaren Fall die Anzahl der Tage zwischen der Angebotsöffnung und der öffentlichen Bekanntgabe des Zuschlags verstreichen (dh der Zeitpunkt, zu dem alle Bieter, Teilnehmer und maßgeblichen Parteien über die Zuschlagsentscheidung informiert werden). in Anbetracht dessen, dass keine Beschwerden / Anfechtungen / Proteste eingereicht wurden? Geben Sie bei dieser Schätzung bitte die Zeit an, um die Gebote zu bewerten, informieren Sie alle Bieter über die Entscheidung und benachrichtigen Sie den Gewinner des Preises. Wenn keine öffentliche Bekanntmachung vorliegt, geben Sie bitte die Zeit bis zur Benachrichtigung von BidCo an.
Zeit: 45 – 60 Tage. Hauptgründe für die Verzögerung: Das Ergebnis der Bieterauswahl muss überprüft werden oder es müssen einige Änderungen an den Bietdossiers / Dokumenten vorgenommen werden.
32. Besteht zwischen der öffentlichen Bekanntmachung des Zuschlags und der Vertragsunterzeichnung ein Stillstand (oder eine Pause), um erfolglosen Bietern die Möglichkeit zu geben, die Vergabeentscheidung anzufechten?
Ja. Länge: 10 Tage
33. Wie viele Tage würden in einem Fall, der mit dem Szenario der Fallstudie vergleichbar ist, im Durchschnitt zwischen der öffentlichen Bekanntmachung des Zuschlags und der Vertragsunterzeichnung liegen? Bitte geben Sie die Zeit für den Gewinner an, relevante Dokumente einzureichen und die nötige Zeit für die Unterzeichnung des Vertrags.
Zeit: 20 – 25 Tage. Hauptgründe für die Verzögerung
34. Wie viele Tage vergingen in der Praxis im Durchschnitt zwischen der Vertragsunterzeichnung und dem Erhalt einer Mitteilung, um mit den Arbeiten fortzufahren?
Zeit: 0 Tage oder nach Erhalt der Leistungssicherheit durch die Beschaffungsstelle.
Hauptgründe für Verspätung: Kein Erhalt der Leistungssicherheit
35. Wenn eine Baugenehmigung oder andere behördliche Genehmigungen erforderlich sind, um mit den Arbeiten zu beginnen, wie lange dauert es im Durchschnitt, bis sie nach Vertragsunterzeichnung erhalten werden? Bitte geben Sie "0 Tage" an, wenn die Genehmigungen und Genehmigungen dem Auftragnehmer automatisch erteilt werden oder nicht benötigt werden.
Zeit: 0 Tage
Hauptgründe für die Verzögerung
Bewertung & Auszeichnung
36. Regelt der rechtliche Rahmen die Auswahl der Mitglieder des Auswahlausschusses?
Ja. Artikel 116, Dekret Nr. 63/2014 / ND-CP
37. Sind die Mitarbeiter der Vergabestelle verpflichtet, einen verbindlichen Verhaltenskodex zu befolgen, der Themen wie Screening-Verfahren, Interessenkonflikte, Ausbildungsvoraussetzungen usw. umfasst?
Nein. Nicht in den Gesetzen erwähnt
38. Welches Rechtskriterium wäre nach dem Rechtsrahmen ein Fall wie der in Abschnitt 1 beschriebene?
Preis – Rechtsgrundlage: Artikel 39 Absatz 1 des Angebotsgesetzes
Preis und andere qualitative Elemente (d. H. Das beste Preis-Leistungs-Verhältnis oder die vorteilhafteste Kombination aus Kosten, Zeit bis zur Fertigstellung, Qualität und Nachhaltigkeit oder das wirtschaftlich günstigste Angebot) – Rechtsgrundlage: Artikel 39 Absatz 2 des Angebotsgesetzes
Sonstiges, bitte erläutern: Kombination von technischer und preislicher Bewertung (Art. 39 Abs. 3 BGB)
39. Erfordert der Rechtsrahmen, dass alle Bewertungskriterien ohne Preisbestimmung objektiv und quantifizierbar sind?
Nein. Nicht in den Gesetzen erwähnt.
40. In welcher Art und Weise würden die Auswahlkriterien (technische, finanzielle, verfahrenstechnische usw.) und die Zuschlagskriterien in einer Ausschreibung wie der in Abschnitt 1 beschriebenen bewertet?
Die Einhaltung der Auswahlkriterien durch das Unternehmen wird zunächst überprüft (möglicherweise sogar während eines Präqualifikationsverfahrens), und nur wenn das Angebot zufriedenstellend ist, wird das Angebot anhand der Zuschlagskriterien bewertet
41. Wie oft basiert die Zuschlagsentscheidung in der Praxis ausschließlich auf dem Preis und nicht auf dem besten Preis-Leistungs-Verhältnis?
Selten (zwischen 10-25%)
42. Wie oft enthalten die Ausschreibungsunterlagen in der Praxis ein Bewertungskriterium, das Unternehmen den Vorzug gibt, die bereits mit der Vergabestelle zusammengearbeitet haben?
Sehr selten (<10% der Fälle)
43. Wie oft wird ein Angebot in der Praxis nur aufgrund eines Fehlers / Formalität disqualifiziert (z. B. fehlendes Dokument, Formatierung der Ausschreibungsunterlagen usw.)?
Selten (zwischen 10-25%)
44. Würde in diesen Fällen dem Bieter die Möglichkeit gegeben, diesen Fehler vor der Disqualifikation zu korrigieren?
Ja. Artikel 14.3 (c) des Dekrets Nr. 63/2014 / ND-CP
45. Kann die Vergabestelle nach dem rechtlichen Rahmen einige der Ausschreibungsbedingungen einseitig ändern, nachdem das Angebot eröffnet wurde, jedoch bevor der Vertrag abgeschlossen wird? Wenn "Ja", geben Sie bitte an, unter welchen Bedingungen die Beschaffungsstelle dies tun kann.
Nein.
a. Wie oft treten solche Änderungen in der Praxis auf?
Sehr selten ( 90%) Ausschluss

47. Wenn ein Bieter (entweder wegen Ausschluss oder Verlust) nicht erfolgreich ist, werden ihm die Gründe für den Ausschluss / Verlust schriftlich erläutert?
Ja, der Bieter muss rechtlich immer eine schriftliche Erklärung erhalten – Rechtsgrundlage und Zeitrahmen: Artikel 20.6 (b) des Dekrets Nr. 63/2014 / ND-CP; innerhalb von 5 Arbeitstagen ab dem Zeitpunkt, zu dem das Gebotsergebnis genehmigt wurde.
a. Wenn “Ja”, wird der Bieter normalerweise früh genug informiert, damit er den Ausschluss / Verlust rechtzeitig anfechten kann?
Ja

Phase 4: Vertragsverwaltung

Die folgenden Fragen beziehen sich auf die Leistungsgarantie, Vertragsneuverhandlungen, Underperformance und Kündigung. Wenn Sie diese Fragen beantworten, beziehen Sie sich bitte weiterhin auf die in Abschnitt 1 beschriebenen Annahmen für die Fallstudie. Für die Definition von “Vergabeeinheiten” wird auf Abschnitt 1 verwiesen.

Leistungsgarantie

48. Ist BidCo gemäß dem gesetzlichen Rahmen verpflichtet, eine Leistungsgarantie-Hinterlegung zu stellen, die eine Quelle der Entschädigung im Falle der Nichterfüllung ihrer vertraglichen Verpflichtungen darstellt?
Ja. Betrag: 2% – 10% des Gebotspreises.
Artikel 66 und 72 des Angebotsgesetzes.
49. Wenn BidCo erforderlich ist, welches ist das gebräuchlichste Instrument der Leistungsgarantie?
Einzahlungsschein
Bankgarantie / Akkreditiv
Zahlungsaufschub bis zur ordnungsgemäßen Erfüllung des Vertrages
50. Wie lange dauert es in der Praxis, bis die Vergabestelle die Leistungsgarantie nach Ausstellung des Abschlusszeugnisses vollständig zurückgibt?
5-10 Tage
Vertrag Neuverhandlungen / Änderungen
51. Reguliert der Rechtsrahmen die Neuverhandlung von Verträgen? Wenn “Ja”, bitte die entsprechenden Bestimmungen angeben.
Ja. Artikel 67 des Angebotsgesetzes und Artikel 93 des Dekrets Nr. 63/2014 / ND-CP
a. Wenn “Ja”, was sind die Grenzen, um jeden der folgenden Aspekte neu zu verhandeln, ohne erneut zu werben?
– Preis (z. B. wegen anfänglicher Unterschätzung der Kosten oder mangelhafter Projektgestaltung): Der Preis wird nur bei einem Vertrag angepasst, der auf einem festen Stückpreis basiert, der Vertrag auf der Grundlage eines veränderbaren Stückpreises und eines zeitbasierten Vertrags.
– Umfang (Länge, Größe usw.): Die Größe des Vertrags kann nicht geändert werden, wenn die Erhöhung der Arbeit auf das subjektive Verschulden des Auftragnehmers zurückzuführen ist. Lieferzeiten werden nur bei höherer Gewalt, Änderungen des Arbeitsumfangs, der Ausführung, der Ausführung aus objektiven Gründen und der Übergabe des Bodens angepasst.
– Technische Spezifikationen (Materialien usw.): Der Wechsel des Unterauftragnehmers (wenn der Unterauftragnehmer nicht in den Angebotsunterlagen aufgeführt ist) muss vom Investor genehmigt werden.
– Lieferungszeitplan
– Auftragnehmer / Unterauftragnehmer
52. Wie oft würde ein Vertrag wie der in Abschnitt 1 beschriebene Vertrag neu verhandelt?
Gelegentlich (zwischen 25-50%)
53. Wenn der in Abschnitt 1 beschriebene Vertrag komplexer wäre (d. H. Längere und / oder kostspieligere Ausführung, komplexerer Umfang oder Gegenstand, usw.), wie oft würde er neu verhandelt werden?
Oft (zwischen 50-90%)
54. Wie oft reichen die Bieter unrealistisch niedrige Angebote ein, um den Vertrag zu gewinnen, der davon überzeugt ist, zu einem späteren Zeitpunkt erneut verhandeln zu können?
Selten (zwischen 10-25%)
55. Wie oft werden “Notfälle” als Ausrede für Neuverhandlungen verwendet?
Selten (zwischen 10-25%)
56. Gibt es nach dem rechtlichen Rahmen einen Prozentsatz der Preiserhöhung, unterhalb dessen die Vergabestelle keinen Grund für die Neuverhandlung vorlegen muss? Wenn “Ja”, geben Sie bitte den Prozentsatz und die relevante Rechtsgrundlage an.
Nein.
57. Gibt es nach dem gesetzlichen Rahmen einen Prozentsatz der Preiserhöhung, über den hinaus die Vergabestelle nicht neu verhandeln darf und immer erneut eine Ausschreibung durchführen muss? Wenn “Ja”, geben Sie bitte den Prozentsatz und die relevante Rechtsgrundlage an.
Nein.
58. Wenn Beschränkungen für die Neuverhandlung von Preisen bestehen, gelten sie dann für jede Neuverhandlung oder für alle Neuverhandlungen zusammen (wenn beispielsweise der Rechtsrahmen eine Preiserhöhung von höchstens 50% vorschreibt), gilt diese Beschränkung für jede Änderung, wenn mehrere aufeinander folgen Modifikationen auftreten)?
Alle Nachverhandlungen. Artikel 67.4 des Angebotsgesetzes
59. Werden die Ergebnisse der Vertragsneuverhandlungen öffentlich zugänglich gemacht?
Nein, nicht gesetzlich geregelt, aber praktisch nein.
60. Was sind in der Praxis die am häufigsten verwendeten Strategien, um die Neuverhandlungsregeln im Zusammenhang mit der Neuausschreibung zu umgehen?
Ja. Artikel 117.11 des Dekrets Nr. 63/2014 / ND-CP; Artikel 428 des Bürgerlichen Gesetzbuches von Vietnam.
a. Wie oft würde die Beschaffungsstelle in der Praxis den Vertrag einseitig kündigen, obwohl der Auftragnehmer seine vertraglichen Pflichten ordnungsgemäß erfüllt?
Sehr selten (<10% der Fälle)

61. Reguliert der Rechtsrahmen die einseitige Beendigung des Vertrags durch die Vergabestelle (d.h. die Kündigung durch die Vergabestelle, auch ohne Grund)? Wenn "Ja", bitte die entsprechenden Bestimmungen angeben.
Ja. Artikel 117.11 des Dekrets Nr. 63/2014 / ND-CP; Artikel 428 des Bürgerlichen Gesetzbuches von Vietnam.
ein. Wie oft würde die Beschaffungsstelle in der Praxis den Vertrag einseitig kündigen, obwohl der Auftragnehmer seine vertraglichen Pflichten ordnungsgemäß erfüllt?
Sehr selten (<10% der Fälle)
62. Wie oft würde der Auftragnehmer gegen die Vergabestelle eine Klage (vor Gericht oder durch alternative Streitbeilegung) wegen eines Schadens einreichen, der aus einer einseitigen Kündigung resultiert, die nicht auf einen Ausfall des Auftragnehmers zurückzuführen ist?
Sehr selten (<10% der Fälle)

Phase 5: Zahlung, Verspätungen und Qualitätsbewertung

Die folgenden Fragen beziehen sich auf Zahlungen und Inspektionen. Bitte beziehen Sie sich bei der Beantwortung dieser Fragen weiterhin auf die in Abschnitt 1 beschriebenen Annahmen für die Fallstudie. Für die Definition von "Vergabeunternehmen" wird auf Abschnitt 1 verwiesen.

Zahlung
63. Gibt es nach dem gesetzlichen Rahmen eine Obergrenze für die Höhe, die die Vergabestelle dem Auftragnehmer in einem Vertrag wie dem in Abschnitt 1 beschriebenen vorab zahlen kann, um Arbeitnehmer einzustellen, Materialien zu kaufen und den Betrieb zu beginnen?
Nein.
ein. Wie viel würde in der Praxis normalerweise für einen Vertrag wie den in Abschnitt 1 beschriebenen gezahlt?
Mindestens 10% des Auftragswertes, maximal 50% des Auftragswertes.

Zahlung
63. Gibt es nach dem gesetzlichen Rahmen eine Obergrenze für die Höhe, die die Beschaffungsstelle dem Auftragnehmer in einem Vertrag wie dem in Abschnitt 1 beschriebenen vorab zahlen kann, um Arbeitnehmer einzustellen, Materialien zu kaufen und den Betrieb zu beginnen?
Nein.
a. Wie viel würde in der Praxis normalerweise für einen Vertrag wie den in Abschnitt 1 beschriebenen gezahlt?

Mindestens 10% des Auftragswertes, maximal 50% des Auftragswertes.

64. Legt der Rechtsrahmen bei der Ausführung des Vertrags einen Zeitrahmen fest, in dem die Beschaffungsstelle die Zahlung nach Eingang einer Rechnung ausführen muss?
Ja. Artikel 19 des Dekrets Nr. 37/2015 / ND-CP.

a. Wie viele Kalendertage werden in der Praxis durchschnittlich benötigt, damit BidCo die Zahlung erhält, sobald die Rechnung an die zuständige Behörde übermittelt wurde?

Maximal 14 Tage

b. Wie viele Personen müssen in der Praxis die Zahlung innerhalb der Vergabestelle genehmigen, bevor die Zahlung erfolgt?

2

c. Legt die Vergabestelle Mindeststandards für die abgeschlossenen Arbeiten fest, die das Unternehmen erfüllen muss, um eine Zahlung zu erhalten? Wenn ja, geben Sie bitte an, was diese Standards sind.
Ja. Standards: Basierend auf dem tatsächlich abgeschlossenen Arbeitsaufwand des Auftragnehmers

d. Wie oft wird BidCo in der Praxis innerhalb des vom gesetzlichen Rahmen festgelegten Zeitrahmens Zahlungen erhalten?
Oft (zwischen 50-90%)

e. Wenn selten, was sind die Hauptgründe für Verzögerungen?
N / A
f. Sind die Zahlungen in der Regel gleichmäßig verteilt?
Nein. Artikel 95-98 des Dekrets Nr. 63/2014 / ND-CP Beruht auf dem tatsächlich abgeschlossenen Arbeitsaufwand des Auftragnehmers.
g. Ist die Gesellschaft berechtigt, Verzugszinsen zu verlangen, wenn die Beschaffungsstelle nach den gesetzlichen Bestimmungen nicht innerhalb der gesetzlich festgelegten Frist zahlt?
Ja. Artikel 94 des Dekrets Nr. 63/2014 / ND-CP
h. Wenn ja, wie oft würde dieses Interesse in der Praxis an das Unternehmen gezahlt werden?
Oft (zwischen 50-90%)
65. Unter der Annahme, dass BidCo im Rahmen des vertraglich vereinbarten, vertraglich festgelegten Budgets pünktlich und in Übereinstimmung mit den vereinbarten Qualitätsstandards liefert, welche Strategien, wenn überhaupt, die Vergabestelle dazu nutzt, die Zahlung zu verzögern oder zu vermeiden?
Die Beschaffungsstelle hat gewisse finanzielle Schwierigkeiten
a. Wie oft bezahlt die Beschaffungsstelle in der Praxis nicht?
Sehr selten (<10% der Fälle)
b. Wenn Zahlungsausfälle üblich sind, wie oft würde BidCo auf informelle Zahlungen zurückgreifen, um eine Zahlung zu erhalten?
Sehr selten ( 90%)
68. Beabsichtigt der Rechtsrahmen BidCo nach Abschluss der Arbeiten, die Arbeiten für einen bestimmten Zeitraum zu garantieren?
Ja. Artikel 35-36 des Dekrets Nr. 46/2015 / ND-CP
69. Wenn BidCo erforderlich ist, welches ist das gängigste Instrument der Garantie nach der Fertigstellung?
Bankgarantie / Akkreditiv
Zahlungsrückbehalt
70. In der Praxis, wie lange nach Abschluss der Arbeiten muss BidCo das Instrument erhalten, das sie garantiert?
12-18 Monate

Verzögerungen und Überschreitungen
71. Wie oft werden die Werke in der Praxis innerhalb der ursprünglichen Frist geliefert?
Oft (zwischen 50-90%)
72. Was sind die Hauptgründe dafür, wenn es Verzögerungen gibt?
Langwierige administrative Prozesse innerhalb der Beschaffungsstelle
Kapazität der Beschaffungsstelle (Personal / Fähigkeiten / Budgetbeschränkungen)
Kapazität des Auftragnehmers (technische / finanzielle / Management / Humankapitalbeschränkungen)
Schlechte Planung auf Seiten der Beschaffungsstelle (schlecht konzipierte Projektspezifikationen etc.)
Schlechte Planung auf der Seite des Auftragnehmers
73. Wie oft werden die Arbeiten in der Praxis innerhalb des ursprünglichen Budgets erbracht?
Gelegentlich (zwischen 25-50%)
74. In der Praxis, wenn Kostenüberschreitungen üblich sind, was sind die Hauptgründe dafür?
Marktbedingungen (Änderungen der Inputpreise, Wechselkursschwankungen, etc.)
Belästigende administrative Prozesse innerhalb der Beschaffungsstelle
Kapazität des Auftragnehmers (technische / finanzielle / Management / Humankapitalbeschränkungen)
Schlechte Planung auf Seiten der Beschaffungsstelle (schlecht gestaltete Projektspezifikationen etc.)
Schlechte Planung auf der Seite des Auftragnehmers
Forschung – Kritikalität des Beschaffungsprozesses
75. Wie häufig werden die folgenden Strategien von der Vergabestelle zur Umgehung der Vorschriften für die Vergabe öffentlicher Aufträge verwendet?
Stellenangebote nicht lange genug ausschreiben, um den Wettbewerb zu minimieren: 10-25%
Priorisieren Sie Projekte ohne ausreichende Motivation, nur um von einem bestimmten Bieter zu profitieren. : 10-25%
Priorisieren Sie nicht wettbewerbsfähige Angebote, um den Markteintritt einzuschränken. : 10-25%
Definieren Sie technische Spezifikationen, um einen bestimmten Bieter zu unterstützen. : 10-25%
Unregelmäßigkeiten während des Bieterverfahrens : 10-25%
Verzerrte Interpretation der Auswahlkriterien .: 25-50%
Fügen Sie besondere Verpflichtungen in den Vertrag ein, die zuvor nicht in den Ausschreibungsunterlagen enthalten waren, und fügen Sie dadurch dem Auftragnehmer unnötige Belastungen in den Weg.:10% der Fälle
Zahlungen an den Auftragnehmer verzögern, um andere Arbeiten anzufordern, die nicht in den Ausschreibungsunterlagen enthalten sind. .: <10% der Fälle
Verzögern Sie die Bestätigung des Abschlusses des Vertrages, um andere Arbeiten / Güter / Dienstleistungen zu erhalten, die vorher nicht in den Ausschreibungsunterlagen enthalten waren. .: <10% der Fälle
Einseitig und willkürlich den Vertrag kündigen. .: <10% der Fälle

76 / Wie häufig werden die folgenden Strategien von Unternehmen des Privatsektors zur Umgehung der Vorschriften für das öffentliche Auftragswesen verwendet?
Kollusion zwischen Bietern (Deckungsgebot, Angebotsunterdrückung, Angebotsdrehung, Marktaufteilung). .: <10% der Fälle
Kollusion mit der Beschaffungsstelle, um den Markteintritt für andere Wettbewerber zu negieren: 10-25%
Abgabe von rücksichtslos niedrigen Geboten, um das Angebot zu gewinnen. 10-25%
Fälschung von Dokumenten oder Unterlassung wesentlicher Informationen im Angebot des Bieters. 10-25%
Unbezahlte Amtsträger: 50-90%
Den Neuverhandlungsprozess missbrauchen, um den Preis oder den Umfang des Projekts ohne einen weiteren Wettbewerbsprozess zu erhöhen. .: 50-90%
Verzögern Sie die Ausführung des Vertrags, um die Beschaffungsstelle dazu zu zwingen, andere Aufträge an dasselbe Unternehmen zu vergeben. 10-25%
Führen Sie den Vertrag mit geringerer Qualität oder mit anderen technischen Spezifikationen als während des Ausschreibungsverfahrens eingereicht. .: 50-90%

Subunternehmer beschäftigen, die während des Ausschreibungsverfahrens weder richtig ausgewählt noch offengelegt wurden. 10-25%

***

Sollten Sie dazu noch Fragen haben, wenden Sie sich bitte an Dr. Oliver Massmann unter omassmann@duanemorris.com. Dr. Oliver Massmann ist der Generaldirektor von Duane Morris Vietnam LLC.
Vielen Dank!

Rechtsanwalt in Vietnam Dr. Oliver Massmann WELTBANK/IFC VERBESSERT VIETNAM AUF OECD ANLEGERSCHUTZBESTIMMUNGEN, WERTPAPIERGESETZE UND RECHNUNGSLEGUNGSSTANDARDS

Das Unternehmensgesetz von 1999 führte die ersten rechtlichen Rahmenbedingungen der Unternehmensführung in Vietnam ein. Seitdem wurden eine Reihe weiterer gesetzlicher Vorschriften erlassen, einschließlich dem Wertpapiergesetz von 2006, dem Unternehmensführungskodex von 2007, in der Fassung von 2012, und die Offenlegungsvorschriften von 2012, 2015 (für börsennotierte Unternehmen). Zuletzt wurden das Unternehmensgesetz 2014, Decree No.71/2017/ND-CP, das Richtlinien zur Unternehmensführung von börsennotierten Unternehmen enthält, und Circular 95/2017/TT-BTC herausgegeben, um die rechtlichen Rahmenbedingungen für Unternehmensführung und die Anforderungen an die Offenlegung von Informationen und Transparenz der Wertpapiermärkte weiter zu verbessern. Ziel ist es, den Anforderungen an die Entwicklung der Kapitalmärkte und der internationalen Integration gerecht zu werden. Es wird erwartet, dass das neue Wertpapiergesetz in der Nationalversammlung von Vietnam, in der 6. Sitzung, XIV im Oktober 2018, vorgelegt und diskutiert wird.
Im Folgenden stellen wir einige wichtige Fortschritte und bevorstehende Änderungen der Unternehmensführungs- und Rechnungslegungsvorschriften Vietnams dar:
Unternehmensführung fördert Investitionen
Gute Unternehmensführung verringert die Anfälligkeit von einem Wachstumsmarkt, wie Vietnam, für Finanzkrisen, schützt Eigentumsrechte, reduziert Transaktions- und Kapitalkosten und fördert die Kapitalmarktentwicklung. Mit anderen Worten, eine schwache Unternehmensführung verringert das Anlegervertrauen und entmutigt Investitionen von außen.
– In 2016 veröffentlichte die International Finance Corporation (IFC) eine Untersuchung mit dem Titel “Corporate Governance Success Stories in Vietnam” (Unternehmensfuehrungserfolgsgeschichten in Vietnam), welche ausdrücklich Vietnams Verbesserung in der Unternehmensführung lobte. Basierend auf der jüngsten, von der Asian Development Bank (Asiatischen Entwicklungsbank), im Jahr 2013 durchgeführten Unternehmensbewertung ist der Unternehmensfuehrungswert für Vietnam in 2013 im Vergleich zu 2012 um 19,2% gestiegen.
– Dieser Erfolg bestätigt die andauernden Bemühungen Vietnams Finanzministeriums, welches eng mit der staatlichen Wertpapierkommisssion von Vietnam (engl. State Securities Commission “SSC”) und anderen staatlichen Institutionen an der Verbesserung der Unternehmensführung in Aktiengesellschaften arbeitet.
Das neue Decree 71 und Circular 95 foerdern stetig gute Unternehmensfuehrung boersennotierter Unternehmen.
Am 6. Juni 2017 erlies die Regierung Decree No. 71/2017/ND-CP, das Richtlinien fuer die Unternehmensfuehrung von boersennotierten Unternehmen enthaelt (“Decree 71”).
Decree 71 trat am 1. August 2017 in Kraft und ersetzte das am 26. Juli 2012 vom Finanzminsterium herausgegebene Circular No. 121/2012/TT-BTC (“Circular 121”).
Am 22. September 2017 gab das Finanzminsterium Circular No. 95/2017/TT-BTC (“Circular 95”), das die Umsetzung einiger Artikel des Decree 71 ueber die Unternehmensverwaltung von boersennotierten Unternehmen leitet, heraus.

Wir heben die wichtigsten Bestimmungen des Decree 71 wie folgt vor:
1. es praezisiert und sieht detaillierte Einschraenkungen von zwischenbertieblichen Darlehen und Buergschaften der Aktiengesellschaft gegenueber den Aktionaeren und ihnen nahestehenden Personen vor;
2. es bietet zwei Moeglichkeiten fuer die Organisation von Aktiengesellschaften: (x) Hauptversammlung, Vorstand, Kontrollgremium und Generaldirektoren oder (y) Hauptversammlung, Vorstand und Generaldirektoren;
3. es bietet neue Voraussetzungen und Qualifikationen für ein unabhängiges Vorstandsmitglied;
4. es bietet strengere Qualifikationen und Bedingungen zur Vermeidung von Interessenkonflikten in Aktiengesellschaften wie (x) der Vorstandsvorsitzende kann nicht der Generaldirektor sein (wirksam ab 1. August 2020), (y) Vorstandsmitglieder einer Aktiengesellschaft können nicht in mehr als 5 anderen Unternehmen Vorstandsmitglieder sein (wirksam ab 1. August 2019) und (z) Transaktionen zwischen einer Aktiengesellschaft und ihren Kontrolleuren, etwaigen Führungskräften und deren nahestehenden Personen sind von der Hauptversammlung oder dem Vorstand zu genehmigen;
5. es bietet detailliertere Offenlegungsanforderungen: zum Beispiel, die Vergütung des Generaldirektors und anderer Führungskräfte muss in den Jahresabschlüssen der Gesellschaft separat angegeben und auf der Jahreshauptversammlung mitgeteilt werden; und
6. es bietet eine neue Charta-Vorlage für Aktiengesellschaften. Es ist nicht ausdrücklich vorgeschrieben, dass die Aktiengesellschaften die Muster-Charta oder die internen Mustervorschriften verwenden müssen, aber sie werden zur Wahrung der Einhaltung der Unternehmensfuehrungsanforderungen gemäß dem Decree 71, dem Wertpapiergesetz und dem Unternehmensgesetz dazu ermutigt.
Entwurf eines neuen Wertpapiergesetzes über die Restrukturierung des Wertpapiermarkts
Am 11. Januar 2017 veröffentlichte das Finanzministerium von Vietnam einen Entwurf eines neuen Wertpapiergesetzes mit dem Ziel, öffentliche Meinungen und Kommentare zu sammeln (“Gesetzesentwurf”). Es wird erwartet, dass der Gesetzesentwurf in der Nationalversammlung von Vietnam, in der 6. Sitzung, NA XIV im Oktober 2018, fertiggestellt, vorgelegt und diskutiert wird.
Der Gesetzesentwurf zielt auf (i) die Schaffung eines effizienteren Rahmens fuer die Regulierung der Wertpapiere und des Wertpapiermarktes, (ii) die Entwicklung des vietnamesischen Wertpapiermarktes im Einklang mit internationalen Bestimmungen, Praktiken und Normen, um den vietnamesischen Wertpapiermarkt von einem Grenz- zu einem Schwellenmarkt voranzubringen und (iii) die Veränderung von Wertpapierprodukten und die Verfahrensverbesserung um Investoren anzuziehen.
Wir heben die wichtigsten Veränderungen des neuen Gesetzesentwurfs wie folgt vor:
1. Die Stärkung der Befugnisse der Staatlichen Wertpapierkommission von Vietnam zur wirksamen Regulierung des Wertpapiermarktes und zur unverzüglichen Behebung von Fehlverhalten: zum Beispiel wird der SSC ermächtigt, von Personen zu verlangen, dass sie Informationen/ Dokumente in Bezug auf Fehlverhalten zur Verfügung stellen; von Kreditinstituten zu verlangen, dass sie relevante Informationen über Banktransaktionen zur Verfügung stellen und die entsprechenden Parteien dazu aufzufordern, sich mit dem SSC zu treffen und mit ihm zusammenzuarbeiten.
2. Die Ermöglichung der Verfügbarkeit von qualifizierteren Waren für den Wertpapiermarkt: zum Beispiel, durch die Verbesserung und detaillierte Bestimmung wie sich mittelständische und große börsennotierte Unternehmen aufzustellen haben, können diese Derivate auf dem Wertpapiermarkt anbieten, wobei die Regularien des Außerbörslichen Handels (engl. Over-the-Counter “OTC”) übernommen werden.
3. Die Restrukturierung des Wertpapiermarktes: zum Beispiel, Hanois und Ho Chi Minhs Wertpapierbörse werden zusammengelegt, um die nationale Wertpapierbörse in Form einer einzigen staatseigenen Gesellschaft mit beschränkter Haftung, die den gesamten nationalen Wertpapiermarkt kontrolliert und reguliert, aufzubauen;
4. Die Restrukturierung von Vietnams Wertpapierdepot: zum Beispiel, Stärkung der Befugnisse und Aktivitäten von Vietnams Wertpapierdepot, wie zum Beispiel die Registrierung von Wertpapierverrechnungen, Hypotheken und Verpfändungen, etc.;
5. Die Überarbeitung der derzeitigen Politik, um den Wertpapiermarkt für ausländische Investitionen attraktiver zu machen: zum Beispiel, Aufhebung der Beschränkung des maximalen Verhältnisses von 49% des ausländischen investierten Kapitals, das für bestimmte Branchen gilt (nicht im Rahmen des WTO-Leistungsplans von Vietnam festgelegt); und
6. Die Verbesserung der Qualität und Zeit der Informationspflichten, die Erhöhung der Transparenz des Wertpapiermarktes.
Vietnams Übernahme von internationalen Rechnungslegungsvorschriften
Derzeit haben 93 % (133 von 143 Rechtsordnungen) weltweit die Übernahme und Umsetzung der International Financial Reporting Standards (IFRS) öffentlich bestätigt und 83% (119 von 143 Rechtsordnungen) verlangen von allen oder fast allen inländischen börsennotierten Unternehmen die Einhaltung der IFRS. Die umfassende Übernahme der IFRS benötigt oft 5 bis 10 Jahre, abhängig von den Bedingungen und Fähigkeiten jedes Landes.
Vertreter des vietnamesischen Finanzministeriums berichteten über die jüngsten Änderungen der Rechnungslegungsstandards, wie sie Circular 200/2014/TT-BTC (in der geänderten Fassung), was groessenteils aktuell, praktisch und in steigender Übereinstimmung mit internationalen Standards war, enthielt.
Die weitere Verfahrensweise Vietnams betreffend, planen die staatlichen Behörden, dass in den Jahren 2018 – 2020, 10 bis 20 einfache IFRS zur praktischen Umsetzung ausgewählt und ab dem Jahr 2020 offiziell auf alle börsennotierten Unternehmen angewendet werden.
Alle anderen Unternehmen, die über ausreichende Bedingungen verfügen und die IFRS anwenden möchten, werden ebenfalls dazu ermutigt. Aber von 2023 bis 2025 müssen alle Firmen im Land ihren Umwandlungsprozess abschließen.
Fazit
Wenngleich die Unternehmensführung in Vietnam einen gewissen Fortschritt gemacht hat, bleibt sie dennoch niedriger als die guten regionalen und internationalen Standards und Praktiken. Wir sind der festen Überzeugung, dass unsere langfristige Zusammenarbeit und Koordination mit internationalen Organisationen und staatlichen Behörden bei der Reformierung und Entwicklung der Unternehmensführung und anderen Investitions- und Compliance-Regeln Investoren helfen wird, den vietnamesischen Wertpapiermarkt besser zu verstehen und ihre Handelsstrategien dahingehend zu planen.
***
Bitte zögern Sie nicht, Herrn Dr. Oliver Massmann unter omassmann@duanemorris.com zu kontaktieren, wenn Sie Fragen haben oder mehr darüber erfahren wollen. Dr. Oliver Massmann ist der Generaldirektor bei Duane Morris Vietnam LLC.
Vielen Dank!

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